Une nouveauté : le ministre allemand de l’Intérieur décide seul de l’usage des fonds structurels européens !
Le grand cœur de Merkel aura mis une semaine à s’effacer : chassez le naturel, il revient au galop ! La panique allemande devant les conséquences migratoires de sa politique absurde est mauvaise conseillère.
Totalement décomplexés par les capitulations à répétition des présidents français, les Merkeliens se lâchent et aboient leurs ordres sans autres précautions de langage. À la fin, la crise des réfugiés devient un nouveau prétexte pour affirmer l’hégémonie arrogante de l’Allemagne en Europe.
Après avoir transformé la Grèce en protectorat, le gouvernement allemand veut désormais punir les Etats européens qui ne se plient pas à ses exigences.
Déjà l’Allemagne avait choisi, seule, de désobéir au règlement de Dublin et d’activer la clause de sauvegarde des accords de Schenghen.
Contraindre, brutaliser et punir est peut-être la doctrine de la droite allemande pour ses voisins. Mais la France ne doit pas accepter cette domination. Hollande doit se réveiller et s’occuper de faire respecter les Européens et les Français plutôt que de jouer aux bombardements exotiques !