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621 commentaires


  1. eric

    Le PS à sabordé notre pays en continuité des fondations posées par Sarko. Nous avons été trainés dans la boue, vous avez été méprisé par l’escro Cahuzac pour leur plus grand plaisir. Ils nous ont installe en guerre sur plusieurs fronts, ils courbent l’échine devant la finance et subventionne le patronat, ils cassent le code du travail, la France n’est plus crédible par son double langage, ils brossent les chaussures des ricains et allemands. J’en passe. Bref le résultat que nous avons n’est pas de notre fait et pas question prêter ma voix à ces incompetents qu’ils assument. Le front de gauche est definitivement mort, pas le PG. Je ne voterai donc pas.

  2. Di Troia Audrey

    Bonsoir à vous, depuis la Belgique je lis tous vos commentaires et suis entièrement d’accord avec vos points de vue qui au bout du compte se rejoignent tous assez bien. Monsieur Mélenchon, je pense qu’il sera nécessaire cette fois-ci et avant tout, d’écouter la voix de vos camarades et de ne surtout pas les inviter à voter PS mais plutôt blanc ou pas du tout. C’était hier qu’il fallait aller voter, ce qu’ils ont tous certainement fait mais maintenant leur demander de choisir entre la peste et le choléra n’aurait juste aucune cohérence. Courage à vous tous !

  3. Yannick

    Cher Jean Luc,
    Les scores du FN ne sont pas une surprise, le long processus d’agrégation de l’électorat FN a de multiples ressorts. Mais la gauche social-démocrate porte une responsabilité lourde dans ce processus pour avoir démissionné (une génétique historique) sur tous les plans : économique, social, politique et culturel, empruntant même au Front National de longue date son discours de clivage contre les immigrés, et à la droite son libéralisme anti-social. Mais la gauche que vous représentiez, l’élan et l’espoir du meeting de Marseille lors des dernières présidentielles, qu’en reste-t-il ? Pratiquement rien. Avez vous interrogé ce repli dramatique de la gauche radicale (oui la gauche doit être radicale !), quid de la rupture nécessaire avec le PS, de l’arrêt de tous les atermoiements électoraux (cf le PC qui rejoint ce jour en IDF Bartelonne !). Vous étonnez vous de l’abstention dans ces conditions, car voter PS ou PC ou Front de Gauche à une nuance prêt, c’est la gauche gouvernementale. Comment ne pas s’étonner qu’une partie des classes populaires ait versée dans le populisme identitaire du FN dont le patronat dit de son programme qu’il est celui de la gauche socialo-communiste des années du programme commun. Voilà la grande confusion en marche ? C’est de votre responsabilité, de la nôtre, de rompre radicalement avec la social-démocratie et de tracer les ponts d’une gauche qui reprenne les fondements du socialisme et de la…

  4. cogipiau

    Je suis en Rhône-Alpes, c’est le carriériste Wauquiez qui est en tête. Alors le parti fachiste ou lui. J’espère que la liste Jean Charles Kohlhaas et Corinne Morel-Darleux va se maintenir sinon, je n’irai pas voter.
    Le FN n’est pas républicain ? Il fallait l’interdire. Ils l’ont voulu pour des considérations politiciennes, qu’ils assument ! Et les laisser aux commandes de quelques régions permettra peut-être aux gens d’ouvrir les yeux. D’ailleurs, avant dimanche dernier, Philippot disait « on va faire ci, on va faire ça ». Dimanche soir, il disait « on va essayer de faire ci, on va essayer de faire ça ». Il est bien conscient que le plus dur commencera s’il est élu.
    Ne lâche rien Jean Luc, tu n’es pas seul !

    1. Pierre34

      Malheureusement en Rhône Alpes Auvergne la liste de Jean Charles Kohlhaas et Corinne Morel-Darleux n’a fait que 6.90 % et n’ayant pas atteint les 10 % ne peut se maintenir.

  5. Normandie-Niemen

    Bonjour Jean-Luc,
    Je suis sur la même ligne que de nombreux commentateurs de ton billet. Je n’irai pas voter dimanche prochain. Militant dans l’Alcal, je n’aurai de toute façon que d’autre choix que de faire barrage au FN en votant pour LR, ce parti même dont des franges de plus en plus larges sont prêtes à s’offrir à l’extrême-droite. C’est donc, un non catégorique.
    Mais si le PS était encore en lice – il est appelé à se désister – je ne lui donnerais pas non plus ma voix, puisqu’il promeut une politique économique à rebours de tout pensée de gauche et prend des mesures que ne renierait pas l’extrême-droite. Toutefois, il me faut te dire que je suis aussi plus que las du FdG. Il nous a fait perdre en lisibilité (pour la troisième fois en comptant les législatives de 2012) et en dignité. La stratégie du PCF, gentille base communiste ou non, a été tragiquement mortifère, mu qu’il est par l’électoralisme à tout crin et sa dépendance/allégeance à l’égard de ce même PS, les deux allant probablement de pair. Sa responsabilité est entière à ce titre. Il n’est plus question de militer avec des gens – je ne prononce plus le mot de « camarades » que du bout des lèvres – qui pêchent dans des eaux aussi troubles. Il nous faut maintenant assumer nôtre propre responsabilité et avoir le courage de la lucidité. Il nous faut nous délester de tout ce qui nous alourdit pour ne pas être entraîné au fond par les poids morts, ceux qui n’ont plus la…

  6. Eric RAVEN

    Bonjour Jean Luc,
    Pour être utile dimanche prochain, au vue de la nullité, intrinsèque de l’offre politique (Estrosi ou Le Pen en PACA), je vais m’occuper à nourrir les lombrics qui rendent la terre plus fertile !
    Salut et fraternité.

  7. h2o

    Cher Jean-Luc, tu nous a sollicités et je pense que les réponses sont à 90% d’une clarté absolue, dont la mienne, il faut arrêter de venir manger dans la main du PS, reprendre toute notre autonomie et contribuer à élaborer un large rassemblement citoyen, écologique, solidaire, seul susceptible de redonner une flamme d’espoir à des millions de français aujourd’hui au bord de la dépression ! L’heure est vraiment venue de tourner la page.

  8. marie

    Face à l’horreur, á gauche toute ! Solidarité fraternité ne doivent plus être des mots vains. Pour moi être de gauche c’est être humain et je me battrai toujours pour défendre ces valeurs. Être de gauche est une question de coeur.

  9. Sierra Jean-Paul

    Je voterai blanc pour la deuxième fois de ma vie d’électeur, la première c’était aux cantonales. Un groupe « alié » a, au second tour, invité ses affidés à voter contre le « loup ». Ceci a permi à un poil près à l’édile du PS en place de se maintenir. Il en tremble encore, pas le poil bien sûr !
    Militant marcheur du PG, le tractage trottoir me reconstitue. Jean-Luc Mélenchon à de plus en plus de sympathies exprimées parmi les étudiants des facs d’Aix en Provence, avec ou sans voile, qui rejoignent leurs pénates dans les quartiers à pieds ou en bus.

  10. Régis de Nimes

    Nous ne sommes pas au bout de nos peines. En se retirant dans 2 régions, la manoeuvre stratégique pour 2017 est prête. Effrayer l’électorat de gauche, avec une raclée assurée à la présidentielle et un score ridicule aux législatives pour le FdG ! Si le FN n’est pas un parti républicain, pourquoi alors avoir invité 4 fois Mme Le Pen à L’Elysée depuis 2012 ?

  11. dalFrançois

    Les tuiles volent bas, pour ne pas utiliser une autre expression qui connoterait rapport à une autre situation vécue en 2002.
    Tu nous sollicite avant de parler mercredi et j’en profite. Tu pour témoignage de mon respect, le vous me paraît prendre une distance a-démocratique. Je redoute une tuile supplémentaire qui serait d’apprendre mercredi que tu valide la position prise par le PG d’île de France. Si ce n’est pas le cas ce sera un gros ouf de soulagement car le constat actuel est de de voir les confiances placées tomber dans les circonstances difficiles, j’en ai mal à la mémoire de François Delapierre.
    Si ce n’est pas le cas, donc, un brin de printemps, comme tu l’évoque, serait possible si tu te propose pour reprendre le capital de sympathie créé aux présidentielles de 2012. Capital qui a subit bien des érosions (en partie par un appel au vote Hollande qui pour ma part a été une erreur stratégique lourde de conséquences, mais quel humain ne fait pas de faute ?). Cependant tes aptitudes à la persuasion (cf tes nombreuses communications suivies depuis environ 2006) sont capables de le reconstituer et de l’amplifier. Une nouvelle formation bâtie sur le principe « qui m’aime « me » (programme de gouvernement inspiré de l’humain d’abord) suive » sans perdre d’énergie dans des compromis électoraux improbables pourrait refaire le printemps pour nos confiances enfin bien placées.

  12. Françoise Bekus

    Surtout, ne pas voter pour le PS, en grande partie responsable de l’écroulement de la gauche. Ce sera la première fois que je ne voterai pas « utile » pour barrer le chemin au plus dangereux des deux restants. Il ne faut plus céder, il ne faut plus fléchir. Et ne pas nous faire honte à nous même.

  13. MatthPench

    Bonjour,
    Electeur de gauche depuis toujours, je suis atterré devant les réactions des politiques de gauche comme de droite qui se renvoient la balle sans être audible sur leurs programmes et leurs propositions. Ce que j’entends à la télé ou à la radio (quelque soit le camp) se résume à « Je suis le rempart face au FN, parce que blablabla ». Je suis intimement persuadé qu’il faut commencer par arrêter de ne parler QUE du FN, c’est leur donner le centre de gravité de l’échiquier politique.
    C’est pour moi, la grande leçon de votre candidature lors de la dernière présidentielle qui s’est littéralement effritée lorsque, pour une raison que je n’ai toujours pas comprise, votre champ de parole s’est réduit à cette simple volonté de taper le FN. Taper le FN n’est pas un programme politique qui peut fédérer la population et générer une dynamique.
    La victoire du FN, c’est la débâcle de la gauche de la gauche. Car étrangement, les PS et LR n’ont pas perdus tant de voix que ça. EELV et FdG par contre sont réduits à peau de chagrin. La plus grande victoire du FN, c’est d’être arrivé à faire croire qu’ils étaient la seule alternative possible au système. Ils sont devenus les anticapitalistes. C’est un comble !
    Voilà, où réside, pour moi, le défi principal du Parti de Gauche : retrouver ses idées, les mettre devant tout et fédérer les forces autour.
    Hâte d’écouter la radio demain matin !

  14. cincinnatus

    J’avais dis, il y a 4 ans, avant les présidentielles, que le système médiatique avait trouvé une astuce pour vous effacer, vous, les vrais socialistes, en fait un certain peuple « Le Pen = Mélenchon, mais en plus clair et accessible pour le vote populaire ». Voilà ce les médiacrates ont seriné depuis lors avec constance. Maintenant vos idées, nos idées sont ejectées de l’arène médiatique et politique et tout a été attribué au FN. Le souverainisme, l’antilibéralisme, le protectionisme etc. et ça tombe bien car c’est un parti d’extrême droite voire fasciste donc ces idées sont fascistes. Et le tour est joué. Désolé mais nous nous sommes fait roulé dans la farine. Quant au FN, parti fasciste, n’importe quoi ! Ce n’est même pas un parti, un clan presque familial qui n’a aucune chance d’exercer un quelconque pouvoir à un niveau national. Donc très utile pour le PS. Il va pouvoir conserver des régions grâce au FN. Le vol de la démocratie est total et c’est cela qu’il faut dénoncer et uniquement cela.

  15. patrick64

    « Nulle part le PG ne participera à une majorité de gestion avec le PS. Mais nos électeurs ont droit d’être représentés ! » @Simonnet2 @BFMTV
    C’est quoi ce bordel ! Se rassembler avec ceux qui ont souiller 2005, et les electeurs madame vous les avez consultés. Je suis déçu, je voterais blanc en Aquitaine sans mérite.

  16. Muriel

    Jean-Luc, j’habite en PACA, dimanche prochain j’ai le choix entre la peste et le choléra. Comment me convaincre d’aller voter « utile » ? Utile à qui ? Pas au peuple en tout cas. J’envisage pour la première fois de voter blanc ou de m’abstenir. Et prendre le risque de voir la poupée blonde couronnée miss PACA ! Ne faudrait-il pas finalement en passer par là pour que les Français comprennent que le FN n’est pas la solution ?

  17. OPTIMIST

    Nous sommes des gens majeurs, capables d’entendre et de comprendre même des problématiques complexes. Nos alliés, s’ils ne jouent pas le jeu d’être fidèles à leurs et nos convictions affichées, il me semble nécessaire de nous interpeller, nous le dire haut et fort et qu’ils entendent notre désaccord. Nous pouvons être pris à témoin quand il y a tentative de rupture de contrat de notre vraie gauche. Un débat sain en public avec nos alliés ne peut qu’être un débat de vérité qui engage la confiance. Il devient une exigence. Assainir le climat, même politique, c’est d’actualité.
    Deux exemples, l’emploi de l’appellation Front de gauche, la position unitaire du 2ème tour des élections, alliance ou pas.

  18. Berry

    La colère, elle est aussi contre les idiots utiles, qui de par leur prévention de pucelles effarouchées ont refusé des concepts, pourtant propriété du peuple depuis 1789, comme la Nation, et les ont offerts sur un plateau aux fachos aux portes du pouvoir. Et maintenant, ils vont appeler à voter pour un des deux partis de la droite « républicaine ». Sans déconner ! Estrosi ! mais vous vous rendez compte !

  19. Robert Molinaro

    Electeur à Paris 20ème, ayant voté pour la liste FdG au 1er tour, j’apprends aujourd’hui avec ecoeurement que notre liste fusionne avec celle du PS. Comment voulez-vous que je vote pour des gens qui sont en train de casser tout ce qui fait le socle social de notre pays. Sans parler de l’état d’urgence. Je le dis tout net,dimanche prochain, je voterai blanc. Pécresse ou Bartolone c’est la même chose. Alors !
    Ce soir, c’est la tristesse qui m’envahit.

  20. rebelle 83

    Oui il y a de quoi être dans la tristesse mais surtout dans la révolte et la rébellion. Oui je suis libre, non ils ne me prendront pas en otage. Le choix entre la droite extrême et l’extrême droite. Quel choix ? Je porte haut les couleurs de ma France celle de la liberté des droits des hommes, celle de la richesse dans la diversité de ses couleurs, celle où l’on devrait pouvoir travailler et vivre dans la dignité. Ma France. Je vais donc résister et surtout, surtout ne rien lâcher. Les dés sont jetés soyons prêts pour les printemps à venir. La rivière qui coule a couleur de la boue, mais le vent qui se lève chassera les nuages. A nouveau les feuilles d’automne miroiteront dans une eau claire et limpide. L’oiseau retrouvera son chant et sa liberté.
    Ne lâchons rien.

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