Le mois dernier, ce blog a reçu 372 806 visites

115 commentaires


  1. Le.Ché

    Tout ça ce n’est que du baratin, je ne vois pas de différences politiques entre Sarkozy et Juppé, on veut nous prendre pour des naïfs.

  2. chev

    Je pense que le capitalisme a inventé les élections pour diviser le peuple. Nos électeurs potentiels ne vont plus voter, nous sortons affaiblis de toutes les élections, alors tirons en les leçons. Ce serait bien qu’au lieu de parler de 2017, de se positionner par rapport aux calculs électoralistes des uns et des autres. J’ai l’impression que le PS en lançant cette initiative de primaires à gauche ne cherche qu’un prétexte pour s’allier la droite centriste. Contentons nous de continuer à rassembler sur un projet de société respectueux de l’homme et de la nature. Dépensons notre énergie aux portes des usines, des écoles, des facultés, à soutenir et rassembler les expulsés, les endettés,les chômeurs, les petites entreprises en faillite, les mal logés. C’est eux qui trouveront les solutions.

    1. semons la concorde

      Les solutions ne peuvent qu’être politiques. Les exclus du système n’ont que la révolte violente comme dernière ressource, quand les lois, la justice et les forces de l’ordre sont contre eux. Voilà pourquoi il est important que tous les citoyens s’emparent des débats politiques et se dessinent un avenir. C’est ce qui s’appelle la démocratie, la vraie. J’espère qu’internet permettra cet avènement avant 2017.

    2. Jo

      J’ajouterais aussi que c’est outre le capitalisme, mais aussi les droites et les dirigeants du moment y compris médias évidemment qu’ont inventé ces primaires, véritable sabotage des nos élections de la République. Assez étrange qu’aucune instance ne trouve à rétorquer une chose pareille ! Quant à nous, n’oublions pas le fort absentéisme qui joue en notre défaveur, mais j’ai bien peur qu’un simple appel à la participation ne suffise. Alors ? C’est le vote obligatoire qui doit être envisagé. C’est vrai que pour certains cela rebute, mais nos spécialistes (de gauche) sauront très intelligemment proposer la chose. Quant à ceux de droites et en place, inutile de compter sur eux, pardi ! (innarengeant pour eux). J’aurais encore à dire, mais ne voudrait pas être hors sujet.

  3. Régis de Nimes

    On peut regretter la lâcheté, le silence complice d’une majorité des membres du PS en désaccord avec la politique du gouvernement. Mais est-ce à eux de quitter le parti qui ne mène pas une politique de gauche ? Est-ce que J. Corbyn, B. Sanders ont quitté leur parti respectif sous Blair et Clinton ? Heureusement non !

    1. Jean-François91

      Chaque parti a des règles, des usages (et des mésusages!) différents dans un un même pays et encore plus dans des pays différents, avec des lois électorales différentes et des histoires différentes.
      Il est donc difficile d’extrapoler à partir de ce qui se fait ça ou là. Corbyn représente la tentative méritoire de réintroduire la gauche dans un parti massivement libéral. Il n’est pas au bout de ses peines. Sanders est un candidat plus social à l’investiture des « démocrates » pour la présidentielle, dans un système où chaque Etat se mêle de la démocratie interne de 2 partis quasi-constitutionnalisés. Bien malin qui pourrait prédire combien de candidats « pro Sanders » seront désignés pour la Chambre des représentants et le Sénat.
      De ces deux cas très différents on ne peut tirer aucune leçon pour la France. Les membres « en désaccord » avec la politique du parti solférinien n’ont montré ni la possibilité, ni même la volonté de faire une révolution interne. Ils sont avant tout légitimistes et contribuent eux-mêmes au verrouillage d’un parti dont ils ne sont au fond que les faire valoir. Qu’ils en soient ou non conscients, ils finissent par être les plus grands trompeurs du peuple.

  4. semons la concorde

    Bravo pour la nouvelle rubrique « Pas vu à la télé » qui rejoint le souhait que je formulais. J’ai suivi attentivement l’échange avec Zoé qui retrace bien la descente aux enfers du peuple grec. Cette femme est remarquable pour son action et pour sa vision de la démocratie. J’espère que ses concitoyens lui feront confiance.
    Quelques remarques sur la réalisation de ce 1er n°. J’ai été gênée par la pollution visuelle de l’arrière plan avec les pochettes de disques et spécialement Marilyn Monroë en gros plan. L’attention se disperse. Deuxième question, youtube est-il incontournable ? Troisième question, périodicité programmée ou non ? Et dernière question, les citoyens compétents en matière d’énergie, d’industrie, d’agriculture, d’éducation, etc. seront-ils invités à débattre aussi ?

  5. turmel jm

    Sur les primaires il est juste de déclarer comme l’exprime un commentateur « l’engagement du PCF, de sa direction en tout cas ». J’ajouterai d’une partie de sa direction. Nous sommes également nombreux à la base à penser comme MGB (lire le passage la concernant dans ce blog). Il y a une ligne de fracture chez nous qui, je l’espère (?) nous permettra d’y voir plus clair lors de notre prochain congrès. Ce ne sont pas les propos de Chassaigne sur Facebook « Pourquoi pas Taubira pour rassembler en 2017 », et l’intitulé de l’article de l’Huma « La Passonaria » (ils ont osé !) en parlant du départ de la Ministre de la justice qui vont apaiser les esprits, je l’avoue un tantinet énervés pour ce qui concerne une partie d’entre nous.

    1. Frédéric Poncet

      Il y a en effet une ligne de fracture au sein du PCF, elle ne date pas d’hier et s’est déjà manifesté très sérieusement lors des municipales en 2014 (les précédentes manifestations étaient moins nettes, l’opposition au Front de gauche faisaient profil bas en 2012). Mais cette fracture ne produira rien de bon tant qu’il n’y aura pas de tendances constituées. Après une brève ouverture (sous Robert Hue, sans que le mot « tendance » soit écrit) les statuts interdisent à nouveau toute opposition qui n’aurait pas pour base une structure du parti (section, département). Bref, ils privilégient un fonctionnement en clique où le fait d’être des Bouches-du-Rhône ou du Val-de-Marne a plus de sens que ses choix politiques personnels, ce qui évidemment ne permet pas de clarifier les choix du parti. Il est dirigé par les plus grosses fédérations, pas par une ligne politique précise. L’élection présidentielle de 2012 a confirmé que c’est dans et autour du PCF que se trouve le plus fort « vivier » de militants de gauche. Il est vain de chercher à reconstruire la gauche « à côté ». Mais tant que le parti a ce mode de fonctionnement, ils sont neutralisés par cette absence de ligne politique. L’avenir passe sans doute par une tendance, mais avec une compréhension très claire des conséquences possibles, la chose étant explicitement interdite par les statuts. Et si elle n’est pas majoritaire dès sa constitution, ce sera une opposition tout aussi vaine que toutes celles qu’on a vu.

    2. lilou45

      Il ne faut pas oublier que cette ministre de gôche a envoyé des syndicalistes de la CGT en prison .

    3. Fulgence

      @Frédéric Poncet
      « le plus fort vivier de militants de gauche » n’est pas dans ou autour du PCF. Il est constitué par les centaines de milliers de militants qui ont quitté le PCF depuis les années 1980. A cette époque le parti revendiquait de 700 à 800 000 adhérents ! Ils sont disponibles, marxistes pour la plupart, pour s’engager dans une alternative anticapitaliste et éco-socialiste crédible.

  6. Frédéric Poncet

    A propos de la sortie de l’euro : il est plaisant d’imaginer une situation où la victoire de la révolution réduirait à néant toute opposition de droite. Mais ce n’est jamais le cas. Une sortie de l’euro se traduira, dans n’importe quel pays, par une situation où une frange significative de commerçants et d’entrepreneurs, exigeront d’être payés en dollars au moins pour une partie de leurs activités, et forceront ainsi bon nombre de consommateurs à chercher à se procurer des dollars. Ils dévalueront ainsi la nouvelle monnaie et pourraient déstabiliser le nouveau gouvernement. On aura beau se dire que le dollar « ne vaut plus rien », cela ne reste cependant qu’un pronostic tant qu’il a du crédit. En d’autres termes, le plan sortie de l’euro n’est praticable qu’à la condition que le crédit du dollar ait commencé à vaciller ; la nouvelle monnaie pourrait être assise, d’une façon qui reste à trouver, sur le Yuan afin de contrarier par avance toute tentative de la contre-révolution d’utiliser le dollar comme outil de déstabilisation.

    1. Roland011

      C’est quoi cette élucubration ? ça vient de sortir ? Personne ne dit que tout sera réglé, loin de là, que ça sera une promenade de santé, pas du tout. Mais il existe toujours plusieurs possibilités en économie (science humaine inventée par l’humain) et c’est toujours également une/des décisions politiques qui vont organiser la dite économie. Sortir de l’euro et de l’Europe c’est sortir du carcan institutionnel (les lois) votées pour garantir que le néo-libéralisme soit irréversible (effet de cliquet et unanimité pour changer) conformément a l’ordo libéralisme qui sépare le politique de l’économie une aberration. Sortir de l’UE c’est mettre a la poubelle toutes ces inepties. Après, il faut également changer radicalement de politique. Tout un programme.

    2. PG

      Que ceux qui exigeront êtres payés en dollars ne trouvent plus personne qui leurs passent des commandes et ils seront bien obligés d’accepter ce qui leurs est proposé s’ils veulent travailler.
      Excellente idée que cette nouvelle télé qui permet d’entendre ce que les personnes n’étant pas d’accord avec le système on a nous dire.

  7. Invisible

    Félicitations pour le premier numéro de Pas vu à la télé ! Zoé parle lentement, on n’a plus l’habitude mais sa pensée tranquille et ferme fait un bien fou. Jean-Luc, vous faites un travail formidable. Peu d’hommes politiques peuvent se revendiquer d’être aussi sérieux et intègre que vous.

  8. Jean ai marre

    Excellent ce « pas vu à la télé ». Mme Zoé Konstantopoulou est remarquable. Quand même pour ceux qui lisent ce blog ou qui ont été à l’écoute de la question grecque, nous n’apprenons rien de nouveau. Y Varoufakis s’en est expliqué, de même que E Toussaint qui est allé faire un audit pour le gouvernement grec. Le noeud a été le référendum. A partir de là, nos amis avaient les cartes en main. Aujourd’hui, sans déblatérer sur Tsipras, on peut dire que ce type a joué fin. Il a réussi a avoir une majorité, qui lui permet de faire passer toutes les lois et les décisions dictées par l’Eurogroupe. Les mouvements sociaux actuels en Grèce attestent. Ce pays est pillé, tout est à vendre et sera vendu. Que restera t il à Tsipras à partager à la fin ? C’est fort de cette malheureuse expérience que nous devons être très vigilants envers nos politiques annonceurs de bonheur !

  9. Adrien

    Super cette initiative que cette télé du Web « Pas vu à la télé ». Je l’ai diffusée à tout mon copieux carnet d’adresse mails pour que le plus grand nombre le fasse circuler pour contrer les médias de propagande. L’espoir renaît avec JL Mélenchon qui va occuper l’espace média sur des sujets de fonds et obliger les girouettes du FdG et d’autres à choisir leur vent dominant !
    Concernant la Grèce, Zoé Konstantopoulou a été très claire et notamment sur l’affirmation au sujet de la crise grecque de « Crime contre l’humanité avec la complicité des gouvernants européens dont celui de la France », mais aussi sur le fait que les reportages sur la Grèce actuelle sont passés à la trappe de la censure, pour la simple raison « qu’il ne faut pas que les Français voient ce qu’ils vont devenir » !

  10. GRAFFARD Jacques

    F.Hollande à complètement démonétisé la plus haute fonction politique en mêlant cynisme et bas calcul politicien avec ce projet de modifier la Constitution française. Avec cet homme la France perd la face et nous allons dans le mur. Ca me déprime car j’ai voté pour lui.
    Que faire ? J’ai toujours voté à gauche, et même très à gauche. Et j’ai enjoint tous mes amis de voter et faire voter Jacques Chirac face à J.M Le Pen. Bien que votant pour le Front de gauche, j’ai participé au vote des primaires du PS qui désignèrent au final F. Hollande. Ce n’était pas mon candidat. Mais si des gens de la vraie gauche, comme moi, avaient fait de même, peut-être aurions nous évité la déplorable dégringolade actuelle, car, si rien n’est joué d’avance, il ne fallait pas être grand clerc pour bien voir que seul le candidat désigné par le PS serait in-fine le représentant de la gauche en capacité de battre N.Sarkozy.
    L’histoire risque de se répéter en 2017. Je réserve mon bulletin le plus à gauche possible et, si les primaires du Parti Républicain (PR) sont ouvertes à tous les citoyens, je participerai au choix du candidat de droite le moins réactionnaire et le plus responsable à mes yeux. Le pire étant l’ennemi du bien. Sur ce plan, tout en ne partagent pas le point de vue de D. Cohn-Bendit sur J.L. Mélenchon, je trouve son raisonnement non digne d’intérêt. Après, d’ici les échéances de 2017, y aura t-il une explosion sociale ? Et sur quoi pourrait-elle alors déboucher ?

    1. D.B

      Croyez vous que les gens de le vraie gauche (comme vous le dites) étaient obligés de participer à cette mascarade des primaires socialistes ? Le PS restera ce qu’il a toujours été (depuis l’après guerre en tout cas) peu à gauche mais très à droite. Vous dites votre envie à participer aux primaires de droite, ce en étant quelqu’un de très à gauche (je vous cite) ? Ah bon! Convenez que c’est pour le moins curieux. Vous me faites penser à Cohn-Bendit, référence gauchiste, lequel vous citez pour avoir « un raisonnement non digne d’interêt« . Il faut de tout pour faire un monde.

    2. bob.pollet

      Votre assertion vous résume : le pire est l’ennemi du bien ! Le jour où vous comprendrez que pour éviter le pire il faut aussi rejeter le moindre mal, vous arriverez à vous déterminer pour ne choisir que le mieux de vos convictions.

  11. Martz

    Certes l’article a un grand intérêt mais je ne vois pas celui d’utiliser le mot « dégoutant » pour le titrer. C’est dans le registre moral et psychologique propre à susciter des réactions de rejet. Pourquoi pas « répugnant » pendant qu’on y est !

    1. marianne31

      C’est madame Taubira qui a employé le mot « dégoûtée » et Monsieur Mélenchon a repris l’expression « Selon le mot d’un démocrate-chrétien belge des années 70 qui savait de quoi il parlait : « quand les dégoûtés s’en vont, il ne reste que les dégoûtants ». C’est de l’humour et pas mauvais.

  12. Jidé

    A méditer par Hollande et son gouvernement. Dans le discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes,Rousseau exprime ses préférences sur la manière de gouverner et de produire des lois :
    « Au contraire, j’aurais désiré que pour arrêter les projets intéressés et mal conçus, et les innovations dangereuses qui perdirent enfin les Athéniens, chacun n’eût pas le pouvoir de proposer de nouvelles lois à sa fantaisie ; que ce droit appartînt aux seuls magistrats ; qu’ils en usassent même avec tant de circonspection, que le peuple de son côté fût si réservé à donner son consentement à ces lois, et que la promulgation ne pût s’en faire qu’avec tant de solennité, qu’avant que la constitution fût ébranlée on eût le temps de se convaincre que c’est surtout la grande antiquité des lois qui les rend saintes et vénérables, que le peuple méprise bientôt celles qu’il voit changer tous les jours, et qu’en s’accoutumant à négliger les anciens usages sous prétexte de faire mieux, on introduit souvent de grands maux pour en corriger de moindres. »
    Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l’origine de l’inégalité.

  13. Carlos

    A mon avis les primaires sont une arnaque pour prolonger autant que possible la vie de la démocratie représentative et freiner l’arrivée d’une démocratie plus directe avec des citoyens au pouvoir. Les primaires ne font que personnaliser à outrance le débat, celui-ci se faisant autour des candidats plus ou moins sympas, plus ou moins convaincants, alors que le débat devrait se centrer sur les projets. Il faut aussi arrêter de donner des chèques en blanc pour 4 ou 5 ans a des personnes qui sitôt arrivées au pouvoir n’ont rien de plus urgent que de ne pas tenir leurs promesses.

  14. DD

    Les électeurs abstentionnistes du premier tour, premier parti de France, ont besoin d’un message clair et frontal comme la Révolution pour revenir aux urnes. Sortie de l’Europe de l’Euro et de l’OTAN. Souveraineté nationale dans des frontières sécurisées. Solidarité internationale avec les peuples en lutte. Ne débattez pas trop longtemps de l’opportunité du blanc B. Chaque jour l’ennemi de classe avance ses pions pour créer l’irréversible. Les nuages s’accumulent, La maison brûle et les anges n’ont pas de sexe : ne cherchez plus !

  15. MORJOL

    Ben, oui, mais moi, je les trouve effectivement répugnants tous ces ministres PS. A présent, chose que je ne faisais qu’avec Sarkozy et Le Pen, je saute sur ma radio pour l’arrêter lorsque j’entends la voix pontifiante de Bob l’Eponge et les rodomontades de Valls. Lorsque j’apprends la nomination de Urvoas en remplacement de Taubira, lorsque je constate l’arrogance de Le Foll, tout ça me donne la nausée ! Je n’attends plus rien de la politique et je crois qu’on s’en va vers un avenir des plus sombre. Excusez-moi de plomber le moral de tout le monde !

  16. Renault

    C’est quoi le problème avec Varoufakis ? On aimerait bien comprendre. Si même les amis sont divisés alors où va-t-on ?

  17. FERRON Thierry

    La primaire à gauche est un piège à cons ! J.L Mélenchon à raison de ne pas ce compromettre dans cette organisation de bobo, avec un Cohn-Bendit qui à déjà démoli les verts en France. Ce monsieur qui est invité sur tout les plateaux de télé, alors qu’il ne représente que lui même, va finir comme animateur de jeu télé tellement il peut dire de conneries.

  18. Francis

    Le PS serait prêt à une primaire de la gauche de gouvernement sans JL Mélenchon. On hésite entre l’envie de rire aux éclats et l’envie de rire aux éclats. Cette primaire verrait donc se confronter le PS, le PRG, le PCF et EELV. On aurait donc loupé un épisode. Le PCF et EELV serait au gouvernement actuellement. Comprenne qui pourra. On attend avec angoisse la réponse des intéressés.

  19. Adrien

    Je maintiens qu’il ne faut pas participer à cette mascarade de primaire. JL Mélenchon a entièrement raison et même si EELV et le PC y vont, eh bien qu’il y aillent, au moins les cartes seront bien distribuées et les Français verront bien qui va à la soupe et qui se bat sur les fondamentaux programmatiques sociaux.
    Le PS flippe sérieusement et veut affaiblir le FdG, une preuve de plus que nous avons entièrement raison de rester sur nos positions, et je suis sur que le temps venu, les électeurs sauront bien faire la différence entre ceux qui défendent le collectif et les autres. Cela évitera aux journaleux de poser leurs questions perfides du rapprochement avec le PS après l’avoir critiqué !,Que les frondeurs PS de circonstance, changent de cap et remplacent leurs frondes de guimauve par une vraie fronde en cuir !

  20. Sylvain

    On n’a que ce qu’on mérite même si on ne peut t’être que reconnaissant de nous proposer autre chose en t’investissant comme tu le fais chaque jour. Bon vent Jean-Luc et courage, tu vas en avoir besoin et nous aussi !

Les commentaires sont fermés.

©2015/2020 Jean-Luc Mélenchon / V5 / Design INFO Service | Contact | Mentions légales