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153 commentaires


  1. Camel

    Dans le programme qui sera présenté pour ta candidature à la Présidentielle en 2017, j’espère qu’il sera traité des propositions progressistes et précises afin de rallier une part importante du salariat dans toutes ses formes !

    1. Nicolas

      Il faudra surtout expliquer rapidement comment cela peut se réaliser. J’en veux pour preuve le Smic à 1700 Euros qui aurait dû être une raison suffisante de vote pour des millions de salariés sous payés. Le budget élaboré en son temps par le PG pourrait être un instrument pédagogique important , surtout si on peut le comparer avec la version Hollande-BCE , ou Sarkosy-BCE.

    2. Denis F

      Revenir aux fondamentaux et ne pas en sortir, nous les connaissons par cœur depuis de années, parler aux travailleurs de chose basique mais indispensable, qui sont le salaire 1 700 € / mois, la retraite à 60 ans au maximum, l’abrogation de toutes les lois scélérates et liberticides votées depuis 2007, etc. etc.

  2. Claude31

    Merci encore pour toutes ces explications indispensables dans la période de grande turbulence que nous allons traverser. J’espère que de nombreux communistes, insoumis eux aussi depuis de nombreuses années et souvent en première ligne dans les entreprises, rejoindront nos rang car ces explications illustrent bien la nécessité qu’il y avait que Jean-Luc Mélenchon propose sa candidature. Ne pas avoir à se rallier à un programme au rabais, plus petit dénominateur commun de personnalités à la démarche partidaire ne voulant pas dépasser pour l’heure cette vision étroite et suicidaire qui est à mille lieux des exigences du moment. Je fais confiance à ces camarades qui sauront choisir leur camp, le moment venu, comme ils l’ont fait en 2012. Plus le temps de discutailler sans fin au moment où l’adversaire de classe et celui qui sert la classe dominante (le PS) se mettent en ordre de bataille. Je me sens pleinement représenté par Jean-Luc Mélenchon quand il explique ses positions et qu’il tient la tranchée dans les médias. Personne d’autre ne rempli mieux à l’heure actuelle cette fonction. Ce n’est pas là idolâtrie mais réflexion pleinement mûrie. Nous allons mener ce combat pour rallier le peuple et alors les cadenas sauteront.

  3. jnsp

    Bonjour jean-luc
    Très bon texte, à mon humble avis. Mais erreur sur un point, répéter 9 fois le mot syndicaliste comme si cela allait t’apporter de la crédibilité. Ça ne sera pas le cas en tout cas pas auprès des gens largués, ceux qui ne votent plus ou ailleurs. Parce que pour eux les syndicalistes ils ne leur font pas plus confiance qu’aux journalistes ou aux hommes politiques, ou aux « intellectuels » même si c’est sûrement à tort. Donc si tu te revendiques de quelqu’un tache de rester proche des gens. Ce n’est pas d’envolées lyriques dont ils ont besoin c’est de considération et quelle meilleure considération que de te revendiquer des humbles qui ne sont « même pas » syndicalistes. Revendique toi de ceux qui ne sont rien, parfois même pas eux-mêmes.

    1. SOUCHAUD

      Je suis d’accord avec ça, être syndicaliste en ce moment n’est pas nécessairement signe d’honnêteté même si la grande majorité d’entre eux l’est. Le problème c’est que les syndicats ne représentent pratiquement personne. Il s’agit donc d’une catégorie sociale peu représentative. Sinon OK sur tout le reste, le seul homme « politique » qui parle avec le cœur et qui donne envie qu’on se batte pour lui.
      Gardez vous bien.

    2. Pierre 30

      Il ne s’agit pas ici de chercher une crédibilité mais de s’appuyer sur des forces qui sont encore des remparts (toujours reconnus par la loi ) pour protéger les salariés et donc l’intérêt général. Après , il y a syndicat et syndicat… il y a syndicaliste et syndicaliste… Seule compte la force des idées et ceux qui les promeuvent à bon escient , sans compromis.

    3. Criton

      Entierement d’accord. Il serait bien d’éviter le vocabulaire désuet (camarades, travailleurs, syndicalistes) C’est vraiment gênant, embarassant. Les « insoumis » ne s’y reconnaissent pas ! Il faut s’ouvrir, sortir de la bu-bulle co-co. Que veut on ? Construire un nouveau monde, élargir l’horizon, respirer ! Mélenchon, vous avez les idées, la réthorique, la carrure. Maintenant il faut balayer large pour ramasser dans la nasse le plus d’insoumis. Universalisez votre vocabulaire SVP. Et brulez cette cravate rouge.

    4. MAAB

      Je partage votre remarque sur ceux qui ne sont rien ou qui ont été tellement oublié. Les ramener en nombre et à une place méritée c’est une priorité, un combat, voir un honneur que de défendre les plus faibles. Monsieur Mélenchon, oui, mais pas que lui,,c’est à nous tous de rattraper ces mains lachées. Souvenez vous, on lâche rien disait notre chant de 2012. Alors des paroles, passons aux actes pour 2017 !

  4. thiebeaux

    Jean-Luc, je suis syndiquée mais je n’ai pas reçu le soutien escompté dans un problème de poste adapté dans la fonction publique. Je me suis sentie abandonnée. Je reste néanmoins syndiquée pour les jeunes à venir dans ce monde de dingues. Je n’ai pas toujours été syndiquée au bon endroit entre guillemets mais un syndicat est fait de personnes, avec leurs forces et leurs failles. Peut-être je suis trop handicapée ? Je suis archi déçue par le système et vous restez une petite lumière dans ce monde de brutes. Gardez vous bien.

  5. Jeannot

    En quittant la fête de l’Huma en septembre dernier, à laquelle j’ai participé, souvent activement depuis 1959, je me disais en mon fort intérieur, c’est fini de ce grand rassemblement des luttes tant les perspectives d’une alternative étaient absentes dans les stands sous le contrôle de la direction du PC. J’aurais souhaité avoir tort. Le peuple aime et reconnait la clarté. Il le prouve en apportant son soutien à Jean-Luc Mélenchon. Honneur à lui de clamer la rouerie de la direction de ce parti qui ose de surcroît s’appuyer sur les militants du passé pour survivre.

  6. kalamar31

    « Ensuite, comme tout le monde, j’ai été mis au pied du mur de la déclaration de « mort clinique » du Front de Gauche par le porte-parole national du PCF, en solo. »

    Peux-tu me donner les références de ces déclarations de Dartigolles ?
    Merci

    1. Camel

      « Aujourd’hui on nous dit que le FdG est un échec. Je ne partage pas ce point de vue. Certes nous n’avons rien fait pour développer sa dynamique. Au plan national nous l’avons même mis « en état de mort clinique » selon la formule d’un de ses ateliers thématiques ».
      http://congres.pcf.fr/82043

    2. kalamar31

      Merci Camel
      L’auteur du texte est Françis Parny, membre du Comité exécutif national du PCF, extrait de sa lettre « Pourquoi je ne siègerai plus au comité exécutif national du PCF ». Ce n’est donc pas Dartigolles, porte parole du PCF qui est l’auteur de cette phrase, il serait bien de rendre à « César-Parny » ce qui lui appartient.

    3. Fulgence

      Pourquoi encore perdre notre temps à parler des petites manoeuvres de cette direction du PCF alors que c’est au peuple que l’on s’adresse ? Que nous importent les petites magouilles électoralistes lorsqu’il s’agit du devenir du peuple, de la république, et de l’avenir de la planète qui sont en jeu ? La page est tournée, en avant !

  7. NICO 75

    Excellente prestation à l’émission de ONPC 1,57 million de spectateurs. Plus de 63 000 insoumis c’est bien parti.

  8. bouniol de gineste aurore

    Vous avez raison. Aucun parti ne s’intéresse à la masse des moutons qu’on voudrait faire de nous. Les grands partis sont tous à la botte du capitalisme et le gouvernement aussi, il le prouve une fois de plus. La crise n’existe pas, c’est une crise morale dans laquelle ceux qui ont le pouvoir écrasent toujours plus les autres. Le projet de réforme du droit du travail ? Vous avez raison, la monarchie gouvernementale veut asservir encore plus les salariés à ceux qui alimentent les politiques. Ne nous abandonnez pas Jean-Luc ! Non, je ne me résigne pas et oui, je veux, avec vous, rejoindre les rangs des insoumis !

  9. calvet

    Les Français insoumis ne sont pas tous communistes ou syndicalistes. Il y a ceux qui ne votent plus parce qu’ils préfèrent fermer les yeux et aussi ceux qui les ouvrent et veulent la même chose que vous (le meilleur pour la France et les Français, la souveraineté, la lutte contre le néocapitalisme, le tafta, et l’OMC). N’oubliez pas les vrais gaullistes, ils se sentent aussi insoumis.

    1. françois 70

      Effectivement. Je discutais l’autre jour avec une vielle connaissance, une personne âgée qui n’a pas la langue dans sa poche et qui se définit elle-même comme « gaulliste à l’ancienne ». Voilà ce qu’elle m’a dit. « Je vais t’étonner, tu me croiras si tu voudras, mais j’en ai tellement pardessus la tête de ces guignols de l’UMP et du PS vendus à la finance, que je vais voter Mélenchon en 2017, si je suis encore du monde… », avant d’ajouter « Au moins lui, Mélenchon, il se couchera pas devant les Allemands et ira pas cirer les pompes des Américains. »
      C’est dit.

    2. Nicks

      C’est la clé d’un éventuel succès : pouvoir rassembler les citoyens républicains, qui ne sentent pas forcément de gauche, mais ne veulent pas voir l’héritage du CNR partir en fumée, tout en étant bien conscience de la nécessité de rénover notre démocratie, de bâtir une économie durable, de proposer à nouveau des perspectives collectives pour notre pays. A ce titre, il faudra considérer les populations rurales et l’immense désarroi qui les tenaille, conséquence de l’abandon de pans entiers de notre territoire.

  10. PUY Gerard

    Les syndicalistes sont utiles, certes, pour attaquer, mobiliser ou defendre, tout comme les specialistes dans tous les differents domaines de gestion d’un pays, mais tous doivent s’inspirer d’une ideoloigie, d’un noyau philophique de têtes pensantes de haut niveau approuvé par le peuple dont ils souhaitent le bien etre !

  11. Terre de Gauche

    Mélenchon présidons ! Mélenchon présidons ! La colle est prête, les copines et les copains se mobilisent. Nous sommes parés. Je prévois des actions du type resto-collage d’affiches ou resto-tractage, etc. Bref convivialité et action politique. Que se vayan todos !

  12. alban

    J’ai toujours participé a la vie associative, a 66 ans je continue. Sur le plan politique très peu participé, j’ai toujours voté. Pour rencontrer beaucoup de personnes, ils sont nombreux a être un peu désespérés. Aujourd’hui il y a un besoin très fort de rassemblement ou tous les sujets doivent être abordés, l’emploi vient en premier comme les salaires, la remise en cause de la sécu, blocage des retraites, les questions de l’immigrations etc. Ce qui me révolte a chaque fois, c’est entendre par médias interposés qu’il n’y a pas d’argent, ce qui est faux. Alors pour nous, de faire passer le message que l’argent existe, pas facile.

  13. Eric RAVEN

    Tu as pris tes responsabilités. Bravo et merci d’ouvrir encore la marche. On est avec toi et on te soutient. Ton courage et ta lucidité nous fait du bien. Heureusement que tu persévères et tiens bon camarade.

  14. François-Patrick DOROSZLAÏ

    Je n’avais pas posté de commentaire sur ce blog jusqu’à aujourd’hui, car je pense, maintenant aussi, que les écrits de Jean-Luc Mélenchon se suffisent à eux-mêmes. Maintenant, cependant, je tiens à apporter ici mon soutien à sa proposition de candidature à l’élection présidentielle, après avoir signé sur jlm2017.fr, signé l’appel des insoumis, et créé un groupe de soutien.
    Oui, Jean-Luc ouvre la marche, et il n’est pas seul. Soyons nombreux à l’ouvrir avec lui, et à entraîner le plus de monde possible à nos côtés. Aujourd’hui, ce n’est qu’avec Jean-Luc et ses camarades, avec nous tous, que je lis et entends une parole ayant un contenu concret et réel, social, économique, stratégique et, surtout, humain. La partie sera difficile, avec des médias inamicaux – pour le moins ! – et des « amis » tellement « amis » que nos ennemis, pour le moment, peuvent se contenter de les laisser dire et faire à leur place. Mais la vérité est en marche.
    Tiens bon, Jean-Luc ! Mais tenons tous bon, nous aussi !

  15. BIBI

    Pas une ligne, pas un mot à changer. L’analyse est limpide, la stratégie au point, à nous de rentrer dans la campagne et de poursuivre sans se préoccuper de ceux qui proposent « une discussion sur le débat pour le programme » !
    Ta candidature c’est comme une cloche qui se soulève et laisse entrer l’oxygène dont nous avions besoin. Continue de parler en utilisant le « je ». Moi même ancien militant communiste je n’employais que le « nous » quand je parlais de ce que j’impulsais. Mais il y a bien longtemps que je suis « guéri » !

  16. P. Legrand

    Bonjour Jean-Luc,
    Chaque fois que je t’entends, je me demande encore pourquoi tant de gens n’entendent pas l’humanité et la sincérité de tes propos. J’ai beau tendre l’oreille, sans parti pris, sans filtre. Ailleurs, c’est langue de bois et petite cuisine entre nantis sans soucis. Certes ton verbe s’accommode de quelques approximations et du cabotinage coutumier des gens de lettre, mais l’essentiel est dit : la justice sociale, le défense des faibles, la rage de ceux qui parlent avec leurs tripes d’une humanité retrouvée.
    Jean-Luc, chaque fois que je t’entends, que j’entends cette sincérité chevillée au corps, ce qui me fait peur, c’est que tout ce que j’entends par ailleurs s’avère mesquin, hypocrite et calculé. Ta ritournelle effrontée et tenace vient troubler les caquètements abscons des basses cours du pouvoir. Et les pseudos spécialistes économiques ou autres de tout bord s’accordent, sans succès, pour te ranger dans la catégorie des insensés, se complaisent dans leurs certitudes, s’indignent qu’on puisse s’attaquer aux puissances de l’argent, à ceux qui emplissent les banquettes de velours, d’effluves de pets toqués.
    Jean-Luc, chaque fois que je t’entends, le sourire s’esquisse sur mes lèvres car tu balayes d’un revers de mot toutes les compromissions, toutes les balivernes des vierges effarouchées des microcosmes médiatiques et politiques, toutes les bienpensances des handicapés du premier degré.
    Salut Jean-Luc, que la force soit avec toi.

  17. chan

    Mes amis au secours ! (1954)
    Au secours pour les millions de chômeurs, pour les millions de sous-payés, pour les millions de réfugiés traités par l’Europe (héritière des Lumières) pour le code du travail ramené deux siècles en arrière.
    Les parlementaires européens de gauche ne peuvent-ils lancer une pétition pour l’accès direct pour tous les citoyens aux projets très secrets de Traité transatlantique ? Pacifique, Mercosur, que fait par là Hollande ? Tout ce que nous subissons provient de ces multinationales auxquelles se soumettent nos dirigeants.

  18. Jacques

    Je vous ai écouté en visionnant vos passages à ONPC et à Europe1 proposés par le site. Je trouve que vous ménagez trop Hollande dans ses bisbilles supposés avec Iznogoud. C’est un traitre à ses électeurs et l’autre est un arriviste mais tous deux s’entendent comme larrons en foire pour taper sur les acquis sociaux.
    Pas de sentiments avec de tels individus.

  19. boulu-gauthier

    Jean-Luc Mélenchon,
    Je viens de soutenir ta candidature.
    J’agis : je pense que si chacun des 60 000 qui ont déjà signés pour ta candidature essaie de convaincre leur entourage, ils entraînent 10 personnes minimum. Et je constate que sur les 10, j’en ai 2 qui influencent les 8 autres par leurs idées et leurs bavardages. J’ai un père et et un oncle qui m’ont (toute ma jeunesse) parlé de politique, de « bonnes idées ». Ce monde je n’avais pas envie de le comprendre. Mais avec l’âge, la maturité, la parenté, je m’aperçois que j’ai envie de construire un monde meilleur pour nous et nos enfants avec des gens comme toi. Bref, comment convaincre mon père et mon oncle qui, j’ai constaté, sont restés sur leur à priori, leurs habitudes télévisuelles et radio, bref tous ces médias faciles d’accès qui finissent par dicter la conscience sur le long terme. Si je n’avais pas eu accès à ton site internet, je serai dans le flou à l’heure où je t’écris.
    Je donne : je regarde ce que je peux mettre dans le panier, et je mettrai dans pas longtemps. Si tu peux, insiste dans tes passages audiovisuels sur le budget attendu pour une campagne. Si tu nous dit qu’il te faut 10 millions, dans 1 mois, il y a 100 000 qui te suivent, ça fait donc 100 euros par tête de pipe. C’est beaucoup à l’heure actuelle. Ce serait bien qu’on soit plutôt 1 000 000 dans 5 mois, ça fera 10 euros par tête. Je caricature exprès. Je ne suis qu’un gens parmi d’autres qui te soutient jusqu’au bout.

    1. Nicolas

      En fait le montant des dons étaient en 2012 limité à 20%, soit 4,5 Millions maximum et un budget global de 22 millions. Je ne sais pas si c’est seulement une condition pour obtenir le remboursement de 50% des frais de campagne. Au quel cas on peut passer outre si le montant des dons couvrent cette dépense (220€ à 100.000, 110€ à 200.000, 22€ à 1.000.000). Nous sommes des millions, j’espère que ceux de 2012 seront au rendez vous pour franchir le mur de l’argent, cela aura de la gueule.
      Ce quinquennat se termine avec une mise en lambeau des droits sociaux, si cette loi scélérate passe, en plus avec un 49.3 et des députés absents ou soumis. L’astre mort PS deviendra un trou noir, et combien je trouve salutaire ta (notre) candidature pour 2017. Vive la VIe.

  20. bob.pollet

    J’entends « pour gagner, il faut un candidat commun sur des engagements de gauche ». Il me semble que depuis des années nous avons déjà un candidat commun et surtout un « humain d’abord » amplement défendu et mis en valeur dans les médias par ses prestations. Inviter tous les partis de gauche à présenter leur seul programme, c’est torpiller « l’humain d’abord » et le voir pour le moins se diluer dans des négociations d’appareil sans fin.

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