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168 commentaires


  1. jnsp

    Je suis en train de visionner la video sur Florange. Et brusquement le politiquement correct explose, sur la scène figurant une sorte de bistrot convivial. Tout le monde est sagement assis à sa table avec surtout la même petite bouteille d’eau en plastique à bouchon rose. Donc en fait on ne boit que lorsque l’on a soif. Le reste c’est du superflu ! C’est ça le message ? Appliqué à la santé ça donnerait quoi, la médication normalisée ?

  2. Diane

    A ne pas diffuser, ne regarde pas les adversaires.
    Lorsque JL ira à Toulouse, il serait percutant à mon avis qu’il convoque une chorale pour entonner le « Se canto » car tout le peuple connait ce chant et l’entonne à cappello (voir « Se canto » géant place du capitole, les voix du midi du 28 mai 2011). Ce chant parle du massacre de gens (les cathares bonhommes) par l’épée et le feu qui voulaient vivre autrement, mais le pape et le roi n’étaient pas d’accord. Quel parallèle avec nous aujourd’hui, qui voulons un autre monde mais sommes contraints par l’oligarchie et la finance. Sont-ils capables d’aller aussi loin ? ça se pourrait.

  3. Autrement

    Rappelons à ceux qui s’inquiètent du financement des mesures sociales de notre programme, que (outre celles qui concernent la fiscalité), l’essentiel est dit p. 63 et 79-86 de l’Avenir en commun. Pour mettre fin au pillage économique de la nation et parer urgences sociales (chômage, salaires, services publics), il faut « refuser le chantage à la dette publique », et « sortir des traités européens, qui nous font l’obligation de mener des politiques d’austérité, d’abolir l’action de l’État et les investissements publics. Tout cela au prétexte d’une dette dont tout le monde sait qu’elle ne peut être payée dans aucun pays ». Notre budget est soumis à l’examen de Bruxelles avant d’être voté par l’assemblée. Ce déni de la souveraineté populaire est insupportable. Reconstituons la majorité victorieuse du NON de gauche au TCE ! Nous avons sous les yeux l’exemple de la Grèce, qui prouve que toute politique sociale est incompatible avec les diktats des dirigeants de l’UE, avec le néolibéralisme à la Juncker-Schaüble, et avec l’oligarchie financière, dont sont complices le pilonnage médiatique et nos élites gouvernementales. Lesquelles n’hésitent plus devant la pire répression et restriction de nos libertés, quand les revendications et propositions des salariés risquent de les remettre en cause.

  4. Jean Tyrol

    Jean-Luc Mélenchon, il y a une proposition qui ne figure pas (encore) dans votre programme, alors je vous la suggère. L’un des principaux problèmes en France aujourd’hui est le pouvoir monstrueux concentré par les plus grosses entreprises. Ces entreprises pillent l’environnement, exploitent le travailleur et nuisent au consommateur. Les actionnaires qui les dirigent n’ont d’autre horizon que la survie de leur rente. Bon. De l’autre côté, on a (comme Marine Le Pen et Montebourg le disent, mais pas vous) les plus petites entreprises, d’implantation locale. Du fait de leur taille, elles ne menacent rien, le patron s’y sent plus proche de l’employé que des élites du nouvel ordre mondial. Problème, les plus grandes étouffent les plus petites et ce, alors que l’Etat traite les grandes et les petites de la même manière. Alors, pour remédier à ce problème, pourquoi ne pas ajuster le % d’impôt sur les sociétés à la taille des entreprises ? Une petite en paiera moins, une grande en paiera beaucoup plus.

    1. JeanLouis

      Je pense que vous devriez vous intéresser un peu plus aux discours de JL Mélenchon, car il explique souvent exactement ce que vous dites. Y compris sur la fiscalité injuste, où ce sont les grandes qui payent le moins. Ramenons au minimum l’équilibre.

    2. thersite69

      Dans « l’Avenir en commun » pages 50-51, point 21: Mobiliser l’argent pour financer les petites et moyennes entreprises et la création d’emplois

  5. roro65

    Page 25 du programme « l’avenir en commun », « instaurer le référendum d’initiative citoyenne et le droit des citoyens de proposer une loi. » Ne serait il pas mieux, plutôt, que par l’intermédiaire de ce référendum on permette au peuple de voter directement les nouvelles lois ou d’abroger celles qui ne lui conviennent pas ?

  6. Jeannine Leroux

    Bonjour à tous et toutes. Heureusement que Jean-Luc est là et démontre si besoin est, que notre système de santé n’a pas besoin de franchises supplémentaires imposées par Sarkozy, continuées avec Hollande. Pour financer la Sécurité Sociale il faut imposer d’avantage les grosses sociétés, au lieu de les laisser mettre leurs profits à l’étranger (exonérées d’impôts).
    UMP, PS, FN, UDI etc. sont tous à mettre dans le même sac. Je pense que 1789 est à refaire. Je ne reconnais plus le vrai Parti socialiste. Amitié Républicaine et Révolutionnaire.

  7. écoeurée

    Et si l’on s’occupait un peu mieux des personnes âgées !? Ici à Lectoure, ville bourgeoise par excellence, on ne s’occupe que du thermalisme, c’est à dire de personnes riches, ou pas, mais qui soignent principalement leur arthrose durant dix huit jours au moins, louent à prix d’or des appartements ou des chambres, et essaient, pour certaines de ne pas trop regarder à la dépense. Une manne dont ont besoin les lectourois qui fuient une ville devenue invivable pour le commun des mortels, c’est à dire le peuple, les vieilles personnes. Les commerçants ne travaillent pour ainsi dire pas en période creuse thermalement parlant, et les personnes âgées doivent donc se rendre su supermarché, à un km à pied, (impossible quand on a mal partout) pour le moindre achat, ou prendre leur auto pour se rendre à la ville voisine (honnie car moins « huppée ») où par bonheur beaucoup de commerces se sont installés. Les personnes âgées, ici, sont malades de tristesse et de solitude, car à Lectoure si l’on voit les choses en grand et si l’on nous fait payer des impôts pharamineux, l’on n’a pas été capables d’instaurer une navette qui traverserait cette ville pour se rendre au CCAS, le seul endroit où la personne âgée puisse se sentir encore de ce monde avec des activités communes ! En plus sous prétexte de la non intrusion dans les domiciles, on laisse lesdites personnes âgées, surtout dans les petites copropriétés, se faire détruire à petit feu par des demi-fous gradés de police !

  8. Dénia

    « Résistance » scande le public, en accueillant Jean-Luc Mélenchon, notamment, dans les salles de meeting. Il me semble que ce terme, traduisant l’esprit des insoumis face à l’inhumanité du monde actuel, est par trop défensif pour mener efficacement la bataille des idées, dans le cadre des présidentielles. Parmi la panoplie des scansions plus offensives, et en adéquation avec les propositions de la France insoumise, ma préférence irait bien à « révolution citoyenne ». Histoire également de ne pas laisser à la seule macronite capitaliste l’utilisation du mot révolution, et de lui restituer son sens profond.

  9. ROLLAND

    Extraordinaire de puissance et de force de conviction par moins 15 degrés ! S’il pouvait y avoir 1000 meetings de ce type, ce serait gagné, car le contenu et la forme sont justes, ajustés à l’intérêt général humain, auquel il faudra bien que les derniers égarés de la gauche finissante cessent d’opposer des prétextes, non ? Le plus tôt serait maintenant le mieux.
    « America first » dit l’autre. Non ! Les USA ne sont pas « l’Amérique » à eux seuls. Ils en sont une partie. Ne serait-il pas utile de le rappeler ?

  10. René-Michel

    J’ai eu le plaisir, ce matin sur le marché, de me voir distribué le premier tract communiste national de la campagne 2017. Sur le recto consacré à la présidentielle, le nom de Jean-Luc Mélenchon n’apparait qu’une fois en bas de page, en petit et de la même couleur que le texte courant. Le verso est consacré aux législatives.

  11. chan

    En montant en voiture, je constate la présence sur le pare-brise d’un tract 4 pages. Sur la une, sourire mi-béat mi-carnassier d’enfant de choeur jeune vieux loup, en 4 un appel : à vous de marcher ! Non, nous ne marchons pas ! Et qui peut marcher avec l’embryon de programme à l’intérieur ? Suppression des cotisations payées par les salariés et donc récupérées sous forme d’impôt, ou ruine de la Sécu, allocations chômage en contrepartie de nouveaux devoirs (accepter n’importe quoi), négociations des règles du travail, dont le temps de travail, au niveau de la branche ou de l’entreprise à la majorité des salariés (exit les syndicats, c’est la loi Macron-Valls-El Khomeri) etc. Et il ose se qualifier de candidat du travail !

  12. éducpop

    J’ai lu le livre de Jean-Luc Mélenchon « Le choix de l’insoumission ». On comprend mieux la forme antipathique du parti socialiste actuel et le fond du socialisme lui-même. L’esprit de la France insoumise se manifeste à la suite d’une histoire politique où la volonté de rassemblement, et la volonté de partager un projet bien construit ont dominé un combat depuis 1968. La cohérence et la détermination rendent à la politique ce que la spéculation fait perdre au projet de société. Il apparaît que dans ce qui peut passer pour un renoncement de la part de la classe ouvrière, ce combat politique est plus que jamais nécessaire. C’est ce que je comprends du bouquin de Jean-Luc Mélenchon, pas seulement celui là d’ailleurs.

  13. Invisible

    Je vous ai suivi en 2012 sur une base clairement énoncée : ce n’est pas l’Europe (ni l’euro) qui est mauvaise, c’est la politique droitière de l’Europe. Il faut infléchir l’Europe à gauche. Hors, parmi vos soutiens, nombreux sont ceux qui propagent une autre ligne et prétendent vouloir quitter l’Europe et l’euro. J’y vois une contagion des idées d’extrême-droite et je ne comprends pas une telle idéologie.
    Ce matin sur France Inter, Hamon me scandalise. Il se prétend différent de vous parce qu’il est favorable à l’Europe et à une France tournée vers la Meditérranée. Mais c’est malhonnête ! Et c’est pas P Cohen qui va le contredire, ni lui rappeler le discours du Prado, puisque Patco vous déteste, littéralement. Il faut clarifier à nouveau votre position européenne.

    1. Nicks

      Nous n’aurons aucune chance de changer drastiquement le contenu des traités si nous ne nous préparons pas à la sortie de l’euro car il en va de notre crédibilité dans la négociation et de la possibilité de réellement avoir la possibilité de changer la politique de notre pays. Dire le contraire c’est mentir et refaire le coup de Hollande, ce qui n’est pas très étonnant venant d’un de ses ministres. Et qui peut vouloir à nouveau d’un Hollande, sinon quelques apparatchiks qui espèrent encore une petite gamelle ?

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