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240 commentaires


  1. Alain Doumenjou

    @Lyendith
    « Attention tout de même, M. Mélenchon, à ne pas vous aussi vous mettre à parler des sondages comme d’une parole d’évangile. »

    Bien loin de « se mettre à parler des sondages comme d’une parole d’évangile » Jean-Luc au contraire rappelle avec pertinence qu’à ce jour plus de 50% des électeurs n’ont toujours pas fait leur choix, ce qui, rationnellement, donne aux sondages publiés jusqu’ici une fiabilité nettement inférieure à celle qu’on puisse accorder aux pronostics pour le prochain tiercé !

  2. Jeannot

    Je pars pour Paris comme l’ont fait les bretons en 1789, pour se faire entendre. Que chaque francilien plus proche de la Bastille se saisisse de cette cette journée pour confirmer la vitalité du coeur de notre pays. Quelle puissance le peuple représente, il peut écrire les belles pages de notre histoire dont nos descendants seront fiers. Résistance à l’oligarchie.

  3. BROSSE

    Merci à la journaliste médiatique Natacha Polany d’avoir participé à Esprit de Campagne et de s’engager en soutenant la candidature de la France Insoumise. C’est suffisamment rare pour être souligné. Comme l’a fait remarquer un camarade, l’absence de gens de la classe ouvrière sur les plateaux est une vraie faiblesse même si on peut se réjouir de voir autant de jeunes de mobiliser avec autant d’ardeur. Mais où sont les jeunes ouvriers et les jeunes chômeurs des quartiers et des villes de provinces désindustrialisées ? Le décervelage et la faillite de l’éducation faisant disparaître sournoisement l’enseignement de l’histoire et la construction de la pensée des programmes scolaires, dépossèdent les classes populaires de leur propre conscience historique. Justement N. Polony a insisté sur cette réappropriation décisive.

  4. jnsp

    J’ai vu l’emission C à vous avec Mme Lapix. Je ne comprends pas comment Jean-Luc Mélenchon peut supporter le regard méprisant de cette dame. Je crois que Jean-Luc Mélenchon devrait dire nettement ce qu’il ressent sans énervement mais fermement, il n’y a pas à avoir de connivence, même formelle, avec des gens comme ça. Bien sûr il y aurait un parallèle de fait avec l’adjoint de MLP mais il ne faudrait pas s’en occuper.

  5. Diarra Souba.

    L’équipe de campagne de Jean-Luc Mélenchon et de la France insoumise fait un travail inestimable pour l’éducation populaire de masse. C’est pour cette raison que nos adversaires et leurs sbires de service se jettent à la gorge de notre porte drapeau. Naturellement il fait fi de leur hargne, de leur haine et surtout de leur ignorance grâce à son érudition. Oui Jean-Luc Mélenchon brille de tous feux sur l’Histoire, la philosophie humaniste, les relations internationales et les dédales sinueuses des institutions européennes et cela les chiens de garde des nantis et des privilégiés ne peuvent pas le supporter,alors ils planifient des traquenards des guets apens pour museler La parole libre, consciente, engagée et révolutionnaire car ils n’ont pas la maîtrise des débats face à notre champion. Excusez moi cette libéralité, mais sachez camarades qu’ils ont peur et ils paniquent. Vivement le 18 mars et la marée d’insoumis !

  6. Lechner Michel

    Le programme de la France insoumise est le seul qui apportera un changement profond pour ce pays et même au delà, il est plein de bon sens, d’humanité, de solidarité.

  7. DMc

    Je n’ose qu’à peine imaginer ce qui ce serait passé pour le PC si les 500 signatures n’avaient pu être trouvées du fait de la « retenue » sur consigne de la direction. Probablement que nombreux comme moi ne lui auraient jamais pardonné et outre perdre de nombreux électeurs, il est probable que beaucoup de militants, qui avaient soutenu majoritairement Jean-Luc Mélenchon auraient quitté le parti. La disparition du PC serait une mauvaise chose, on l’a vu en Italie, mais je crois qu’il est tout juste temps que le PC s’engage vraiment dans la campagne présidentielle, sinon il le pleurera aux résultats des législatives.

  8. marco polo

    C à Vous n’a pas dérogé, comme toute les émissions de ce caractère, à la technique éprouvée de démontage « je-pose-la-question-et-je-n’attends-pas-la-réponse » du programme de l’Avenir en commun, ça devient lassant. Je suis scandalisé de cette attitude qui consiste à vouloir à tout prix faire le buzz en utilisant de fragments d’images et de discours pour discréditer une personne et des idées. Je sais, ce n’est pas une découverte. Néanmoins j’affirme que c’est du journalisme de bas étage et nous sommes en droit comme citoyens d’exiger autre chose. Il est vrai que l’exemple vient de haut avec Fillon et ses histoires de costumes, les valets se rapprocheraient-ils de leur maître à ce point ?

    1. Sergio

      Je ne peux que souscrire à la colère et la lassitude de @marco polo à propos du traitement des entretiens par les médias avec notre candidat depuis quelque temps. Pujadas et Salamé étaient presque plus corrects (pour une fois) en février que les autres dont Ruquier récemment dans ONPC et maintenant Lapix. « Jean-Luc Mélenchon aurait de toute façon tort, on l’invite à cause des 11 % dont l’IFOP-Medef le créditent et ce qu’il peut dire ne mérite ni l’attention ni le respect », voilà ce qui habite grimaces, clins d’oeil complices et interruptions accompagnées de reformulations caricaturales et ironiques chez ces journaleux aux ordres. Imagine-t-on un Fillon ou un Macron traité de la sorte une seule minute ? Eux qui ont déjà droit à des publi-reportages à longueur de temps partout ?

  9. LEON

    Jean Luc Mélenchon, je viens de regarder l’émission de la 5 où vous dites que la constitution actuelle est dangereuse. Quelle patience il faut pour supporter les sournoiseries de Cohen, les bavardages de Lapix, le gommage de ce qu’il y a de positif dans le point de vue de Miller -qui votera pour vous et pour « l’Avenir en commun ». Combien d’heures ces trois journaleux de salon consacrent-ils sur leur temps de travail quotidien à fouiner dans les archives pour se faire le misérable petit plaisir d’empêcher l’explication qui permet de penser, et pour se donner l’assurance d’être bien vus de leur directeur de chaîne. Car oui, ils sont enchaînés, et le Canard qui l’est aussi est plus libre qu’eux. L’émission se termine sur la violence et vous avez excellemment répondu en montrant où elle se situe. Si cette malveillance se reproduit, dites-leur d’ouvrir le dictionnaire et d’apprendre qu’il y a une différence entre la violence et la véhémence. A samedi 18 mars !

  10. Andre BOUCHER

    Merci Monsieur Melenchon. Ne lâchez rien. Jamais. Ne nous lâchez pas. Courage vous ne serez pas seul.

  11. chan

    Je zappe et tombe sur Quotidien, tiens, en train de taquiner gentiment le jeune premier Macron. Lequel se marre, tout content de lui quand on lui rappelle que cinq personnes (âgées ?) ont fait un malaise (chaleur, station debout) au cours de son meeting trop long. Et je compare avec notre Jean-Luc qui vient d’affronter les propres-sur-eux de la 5, déjouant leurs manoeuvres et rappelant le suicide de travailleurs à bout, opposant la juste violence insoumise, indignée, révoltée (véhémence) à la violence brutale d’une loi El Khomri, à celle que subissent les chômeurs. Où est la classe ?

  12. Ric le Belge

    Salut les Insoumis. Je démarre de Valenciennes samedi pour venir à la marche. Trois petites heures de car, ce n’est pas grand chose. Mais il faut penser aux camarades qui viennent de contrées ensoleillées, mais lointaines, et qui vont se farcir plus de 10 heures de route. Comme j’ai un peu de sous, j’ai acheté une place sur un car venant du Sud, en précisant bien que je n’occuperai pas la place. Ca leur permettra de boire un coup sur le chemin, ou de mettre un insoumis de plus dans le bus. Si vous le pouvez, faites comme moi, pour que personne ne manque à l’appel samedi !

  13. Jacques A.

    Tous nos porte-parole étaient invités dans les différentes émissions. Quel plaisir d’entendre Danielle, Raquel, Alexis, Jacques, Liem, Eric, Jean-luc défendre notre programme avec autant de ferveur. En 2 jours l’espace médiatique a été occupé par l’Avenir en Commun et sa grande marche du 18. Bien sûr parfois les contradicteurs portaient de viles attaques, prouvant ainsi leur conditionnement, mais nos amis ont été, face aux « conditionnés », de redoutables insoumis. Nous le savons, Jean-Luc est le candidat que les journalistes veulent salement égratigner parce qu’il dérange et par vengeance corporatiste, mais sa carne est dure et sa verve est redoutable. Il n’est jamais aussi bon que lorsqu’une torpille lui est adressée. Les Lapix, Salamé, Pujadas, Cohen, tous ces « redevables » ont été pris en flagrant délit de mensonge, de bêtise ou de sournoiserie. Alors marchons, marchons… et résistons !

  14. fernand

    Effectivement sur la cinq hier, quelle patience pour ne pas les envoyer dans les cordes avec leurs questions et reportages stupides et insignifiants. L’humour, comme vous le faites est la bonne réponse. Mais que c’est usant et frustrant. Et vous avez vu vous leurs têtes d’outrés quand on leur dit que les autres candidats ne sont pas traités comme ça. Au dessus de tout, au dessous de tout, soit niais, soit malhonnêtes quand à leur pratique du métier, ou les deux.

    1. jnsp

      Au sujet de l’humour qui permet de répondre à des attaques, je ne crois pas que ce soit la bonne solution. Je pense au contraire que cet humour donne à penser que l’on peut rire de tout et bien non on ne peut pas rire de tout quelle que soit la personne avec qui l’on rit (contrairement à la phrase attribuée à Desproges). Il n’y a pas à rire avec ces journalistes, ces interviews ne doivent pas apparaitre comme des duels rhétoriques de facade. Rire avec eux c’est pour certains spectateur (dont moi) rechercher une forme de connivence choquante qui relativise le discours de Jean-Luc Mélenchon. Parmi les 50% des électeurs qui n’ont pas fait leur choix, je pense (mais je peux me tromper) que nombreux sont ceux qui sont convaincus du « tous pourris » ou du « tous pareils » et ils n’ont pas du tout envie de rire et pour eux ce rire est une agression, une distanciation froide par rapport à leurs problèmes vitaux. Ça ne correspond surement pas à ce que pense Jean-Luc Mélenchon mais je pense que ça peut être le résultat.

  15. TiDom

    Contrairement à ce qui se dit, je trouve que la prestation sur C à vous de France 5 a été très bien menée. Au sujet de la colère (justifiée je trouve) de la fin de l’émission qui a déplu à certains, vous avez déjà cité l’abbé Pierre dans un de vos meetings : « Si nous sommes sans colère quand nous voyons les autres bafoués, exploités, humiliés, il est clair que nous ne les aimons pas. » Nous vivons dans la zone la plus riche du monde (en France, en Europe) et nous ne pouvons pas nous occuper de nos pauvres ? Oui nous, les insoumis, nous sommes en colère ! Allons réveiller la colère de nos voisins, les convaincre, et transformer le tout en révolution citoyenne par le vote pour la France Insoumise

    1. julie

      Entièrement d’accord avec vous. surtout que hors la séquence abjecte « Mélenchon le violent », les journalistes n’ont pas interrompu à tout bout de champ le déroulement des phrases et leur cohérence et ainsi permis, au moins j’espère, de bien faire comprendre nos idées. Fallait-il payer cette « faveur » ?

  16. Cyrille

    Merci à la France Insoumise de poser des mots, des idées sur tout ce qui nous révulse, sur la manière dont nous concevons un nouveau monde. Merci à notre candidat Jean-Luc Mélenchon de son courage, de sa détermination devant un mur médiatique. J’étais stupéfait, comme je le suis toujours, de voir dernièrement un débat entre journalistes soi-disant contradicteurs mais finalement connivents expliquer le désamour, le déphasage entre les politiques et le peuple. La bonne question qui aurait dû d’abord se poser lors de ce débat, c’est le décalage profond de ces médias avec la réalité du terrain. A cet égard, les politiques sont bien plus en phase. Vivement que ce monde change pour qu’enfin le peuple puisse s’éclairer. Encore merci pour cette campagne courageuse et pédagogique.

  17. Pierre

    Il est marrant, le PS et ses seconds couteaux à nous seriner avec ses appels à l’union à tout prix. En gros, « Jean-Luc Mélenchon doit se retirer pour que la gôche gagne ». Mais le PS, c’est le seul parti à présenter deux candidats, Macron et Hamon. Pour ratisser large. A samedi.

    1. Lucas B.

      « Deux candidats pour ratisser large. »
      Mais le candidat officiel, Hamon donc, n’est visiblement que le candidat B dans l’histoire, chargé de border le flanc gauche en essayant de contenir l’hémorragie de ses derniers électeurs vers la France insoumise. Pitoyable machiavélisme qui ne trompe personne du corbillard PS. On attend Hamon, s’il en le panache, entre Bastille et République samedi après le retrait de sa candidature.

  18. Chat

    Bon on le sait, les belles personnes du monde médiatique ont pour consigne d’être partiaux. Malgré tout Mr Mélenchon a pu développer une partie du programme et éviter les pièges. Pour une fois Cohen n’a pas été trop désagréable. Je pense que les gens qui regardent ces émissions sont capables de discerner la différence de traitement appliquée selon les candidats et qu’ils savent en tirer des enseignements. Il ne faut pas trop répondre aux provocations par de l’agressivité et Jean Luc est resté digne et efficace. Il a pu démontrer la manipulation du montage vidéo sur le rassemblement en dénonçant une des archives sortie du contexte.
    Les choses avancent malgré les obstructions médiatiques qui au final, compte tenu des attentes et des enjeux, ringardisent ceux qui font obstacle aux propositions réellement innovantes. Ceux la même qui en appellent au changement en politique ont encore le vieux réflexe d’en entraver la marche, figés dans leur immuable posture d’un autre temps.

  19. Victoria

    Les chômeurs de 50 ans et plus, nous sommes les grands oubliés de tous les messages de réforme et d’avenir. SVP, nous avons travaillé toute notre vie depuis 30 ans et plus, ils nous reste plus de 15 ans à travailler pour pouvoir percevoir une petite retraite à taux plein et les employeurs ne veulent plus de nous, a chaque entretien d’embauche, y compris sur des postes de cadres nous sommes rejetés, on nous appelle les grands parents, on nous humilie en nous demandant si nous sommes capables de travailler avec des jeunes. SVP Mr Mélenchon, j’ai beaucoup de respect pour tout ce que vous faîtes et j’adhère complètement. Parlez de nous, venez nous rencontrer à la sortie des Pôles emplois, ou des salons, renseignez vous sur les compétences inexistantes des conseillers Pôle emploi qui ne font rien pour nous trouver du travail.  » Ils ne sont pas là pour ça », nous répondent-ils ! Au RSA et à L’ASS avec 475 euros/mois vous récupérerez toutes nos voix. Merci encore à vous.

  20. BROSSE

    L’autonomie d’une parole libre, telle me semble devoir être le principe. Or le cadre médiatique des grandes chaînes ne permet pas de sortir de la règle imposée, sauf à claquer la porte. Les Lapix, Ruquier, Cohen, Pujadas sont là, uniquement pour piéger Mélenchon. Alors pourquoi faire semblant de jouer le jeu et ne pas faire ressortir très calmement leur mauvaise foi calculée et enrobée. Il est parfaitement contre-productf de supporter leur arrogance (du style Jean-Luc Mélenchon doit se justifier qu’il n’est pas si bête) pour finalement s’emporter et se mettre en colère parce que l’on s’est fait piéger. S’il faut aller devant ces sortes de procureurs, c’est pour en faire ressortir l’ignominie, en démonter froidement le mécanisme et le mépris du public. Ce n’est pas à ces larbins qu’il faut s’adresser mais à ceux qui regardent et écoutent leur récepteur. Ce n’est pas un problème de talent de notre tribun par ailleurs incomparable, c’est un problème de stratégie face à un système pervers.

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