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92 commentaires


  1. DETRAZ

    Mille fois bravo. De la part d’un sympathisant communiste pendant 30 années. Aujourd’hui au PG. Toujours marxiste et FI plus que jamais.

  2. Le Dule 39

    Bravo Jean-Luc pour cette dernière revue de la semaine ! Je suis complètement en phase avec toi sur le nucléaire, les énergies carbonées, le dérèglement climatique et le scandale des « riches ». Continue à aborder sans cesse ces sujets. Je t’admire dans ta constance et ta pugnacité à parler si clairement de l’essentiel. A force, ça va finir par déclencher quelque chose et , je l’espère, avant la hautement probable future catastrophe nucléaire. Peu m’importe si tu dis ces choses-là debout, assis ou en marchant, ce qui compte c’est qu’elles soient dites, et entendues !

  3. dume2b2

    Je suis choqué par vos propos sur les élections territoriales en Corse. Premièrement, vous nous annoncez que les nationalistes sont majoritaires dans l’électorat en Corse. C’est faux, M Mélenchon, les nationalistes ont remportés l’assemblée il y a deux ans à la faveur d’une quadrangulaire avec environ 35 % des inscrits. Deuxièmement, votre charge contre le PCF et les ex FI est absolument scandaleuse. Ces derniers ont entamés des discussions en juillet et c’est sur la base de ses discussions que le constat à été fait qu’on pouvait aller à la bataille des territoriales ensembles. C’est aujourd’hui, la seule liste antilibérale et anti Macron présente à ces élections. Votre attitude qui consiste à leur cracher dessus, uniquement parce que les insoumis corses ont choisis, en conscience, de ne pas obéir à votre diktat est révélatrice de votre fonctionnement.

    1. Nathalie Bourras

      Premièrement que cela vous plaise ou non les nationalistes en Corse ont largement gagné les élections territoriales de 2015 et les législatives de 2017.
      Deuxièmement, le 28 juin 2017, 8 militants tous issus de la même formation politique locale ont en effet décidé à eux seuls d’aller aux territoriales sous le label FI et sur une liste commune avec le PC. A partir de là nous avons eu droit, nous militants Insoumis de Corse, à un consternant festival de mensonges, de manipulations et même de Melenchon bashing pour justifier cette tambouille. Nous sommes maintenant soulagés que cette mascarade cesse. Il est bien évident que toute liste de rassemblement ou non est légitime à se présenter à ces élections. Le problème dans ce cas est uniquement l’usurpation de label. Il ne s’agit pas de « diktat » mais de respecter les stratégies et règles de fonctionnement décidés par tous les Insoumis. A noter qu’aucun des « usurpateurs » n’a daigné contribuer à la boite à idées de la…

    2. centuri

      Quand on connaît le PCF corse, sa notabilisation, sa perte d’influence régulière depuis la libération due son incapacité à saisir les racines de la contestation des autonomistes ainsi que ses compromissions, on ne se risque pas à engager le mouvement des insoumis dans leur charrette. Malheureusement les résultats du prochain scrutin risquent de le rappeler au PCF corse mais ce n’est que normal et aux quelques égarés qui se réclament de la FI.

  4. MIchel

    Face à cet afflux de propagande anti-insoumis dans les médias, n’y a t il pas moyen d’utiliser le « droit de réponse » ?

    1. PIERRE93

      La meilleure réponse sera le 16 dans la rue derrière les syndicats et assocs diverses et variées. Et d’ici là, que les Insoumis donne la main à la mobilisation plutôt que, quelquefois, taper sur les syndicats.

  5. sergio

    Quand je lis l’amertume de Jean-Luc dans la Tribune de Genève, face à la désastreuse division des syndicats pourtant confrontés à des décisions gravissimes du gouvernement, je retrouve mes propres réactions et celles de dizaines de milliers de salariés et fonctionnaires devant les belles reculades syndicales passées sous Chirac, Sarkozy et Hollande. Les décisions contre les retraites, le financement de la sécu, les salaires, malgré de fortes mobilisations, n’avaient pas créé de front uni si ce n’est pour « se coucher ». Résultat : les syndicats se sont vidés de leur adhérents et la discussion collective a disparu au profit du I-phone et des jeux. Pour moi (et pour 7 millions de gens pour l’instant) seule la FI est capable pour l’instant de porter la parole des salariés et précaires. Je n’oublie pas la CGT après Thibault et qui semble maintenant plus crédible et quelques fédérations FO dégoûtées par Mailly.

    1. patrice 30

      Nous devons être des milliers de FI dans ton cas à avoir les mêmes réactions. Perso j’ai démissionné de la CFDT ne me sentant plus représenté ni compris. La grande désunion syndicale fait beaucoup de mal aux salariés. Il ressort que M Mailly est depuis l’âge de 26 ans dans les instances de FO. Ce n’est pas le seul responsable syndical dans ce cas. Que peuvent ils connaître de la vraie vie ? De plus en plus de gens sont hors circuit. Que dire des personnes dites fragiles (pas toujours âgées) de plus en plus isolées et arnaquées par la société car vulnérables. Les précaires sont les grands oubliés du système qui glorifie la réussite sociale et des organismes comme les Restos du cœur sont des palliatifs à la misère sociale. Jusqu’à quand ?

    2. sergio

      J’oubliais, que les camarades syndiqués m’en excusent, le syndicat SUD plutôt courageux dans les batailles.

    3. Diane

      Le rôle des centrales syndicales ? Quand un ample mouvement de contestation part de la base populaire en dehors de toute organisation, alors les syndicats interviennent pour le récupérer, l’encadrer, vite se présenter comme seuls négociateurs, ainsi casser le mouvement de contestation premier. Voila leur véritable rôle et ces temps ci, faire fatiguer les grévistes à défiler sans arrêt, de moins en moins nombreux, et ainsi faire mourir toute velléité de combativité. Mais il s’agit surement d’une élucubration, ça ne s’est jamais vu !

    4. Bata

      7 millions à la présidentielle mais nous n’étions malheureusement déjà que 2.5 millions aux législatives. Il est peu probable que ces 7 millions soient réellement FI. Je crois qu’il nous faut arrêter de brandir ce chiffre car on se prépare à des désillusions si l’on se voit trop beaux.

    5. sergio

      @Gaga
      Oui et non. Les 7 millions de voix aux présidentielles étaient acquises au programme et à la rupture proposés par LFI. En revanche les 2,5 millions de voix aux législatives s’examinent avec la prise ne compte d’un grand nombre d’abstentionnistes et celle des disparités de listes dites de gauche : PCF, PCF-LFI, voire EELV, PS-EELV, et j’en passe. A joué aussi et enfin la résignation devant l’élection de Macron et la présentation partout de ses listes LRM soutenues par les médias et l’électorat LR, PS vallsien et MODEM. Les listes LFI ont tout simplement fait les frais de tout ça.

  6. François Rosicki

    En ce qui concerne les ultra-libéraux (en fait, les ultras tout court), ils sont maintenant sur la défensive. Sur ce point bien précis, il me semble que l’analyse de Jean-Luc Mélenchon ressemble à celle de notre ami Jacques Myard, ancien député LR, simplement exprimée d’une manière différente. Votre mouvement L’ère du peuple est classé à gauche (tant mieux pour vous), et moi, je suis classé à droite (tant mieux pour moi). Mais peu importe, du moment qu’il s’agisse de défendre le bien commun. Par exemple, j’ai bien apprécié la vidéo de Jean-Luc Mélenchon filmée à la Commission de Défense de l’Assemblée nationale. J’approuve entièrement les réflexions de Jean-Luc Mélenchon sur ce sujet, notamment au sujet de l’Outre-mer et de la ZEE autour de l’île de la Réunion.
    Merci en tous cas d’exister. Vous avez vos réflexions, moi j’ai les miennes, et je trouve que c’est très bien comme ça (ça me permet de garder une certaine distance par rapport aux événements).

  7. Ldv07

    Merci pour ces mots bons et vrais. Mon soutien dans ces tourments.

  8. André condamines

    Eh oui les lâchages des appareils par rapport aux militants de base ne datent pas d’aujourd’hui et il y a fort à parier qu’ils n’auraient jamais éclaté au grand jour sans l’avènement et l’efficacité de la FI. Ceci étant il y a quand même lieu de s’interroger sur la qualité du formatage qui arrive ainsi à faire payer à des adhérents des cotisations que leurs prétendus représentants utilisent en cogérant contre eux avec le Medef et le pouvoir la gouvernance qui les enfonce tous les jours un peu plus (et ce n’est pas exclusivement dans le monde ouvrier: la FNSEA n’a rien à envier en la matière). Il faudra bien un jour que s’engage une réflexion sérieuse sur le degré de cette dérive !

  9. Jean-Charles

    Vos billets sont trop longs. […]

    [Edit webmestre : Vos commentaires aussi !]

  10. Jean-Paul B.

    « Celles qu’ont affirmées une majorité des électeurs en Corse ne sont clairement plus celles du passé ».
    Énorme erreur d’analyse des élections législatives de juin dernier : les nationalistes ont remporté 3 sièges sur 4 certes mais à une majorité toute relative (comme LREM !). L’abstention importante provoquée par le rejet d’une « élite » embourbée dans des affaires judiciaires (liées à leurs mandats) et qui, de père en fils, dirigent la Corse depuis des décennies sans que plupart des citoyens voient un changement positif, a facilité leur victoire. Majoritairement il ne s’agit pas d’un vote d’adhésion mais d’un retrait citoyen sur l’Aventin. Dénigrer la liste menée par le candidat de LFI en parlant de « tambouille » et d’usurpation par le PCF du titre « La Corse Insoumise » est une deuxième erreur. Enfin la 3ème erreur, la plus grave, laisser penser que la liste nationaliste menée par M. Simeoni est une chance pour nos compatriotes de Corse donc qu’ils pourraient sans crainte…

    1. Jean-Paul B.

      D’autre part pourriez-vous nous expliquer pourquoi les candidats LFI aux législatives de juin dernier dans les circonscriptions de Corse sont,en novembre, (dis)qualifiés en « anciens communistes » parce qu’ils ont pris la décision de faire,pour les élections de décembre prochain à la Collectivité de Corse, liste commune (et de la conduire SVP!), avec entre autres, le PCF?
      De même pourquoi considérer cette liste (la seule anti-libérale!) comme une liste ennemie et laisser entendre que la liste des nationalistes de M. Simeoni ne serait pas le plus mauvais choix pour les électeurs de LFI?
      J’attends une réponse claire de LFI au niveau national sur l’Unité et l’Indivisibilité de la République car c’est de cela qu’il s’agit maintenant en Corse: les listes de Droite ou Macroniste (méli-mélo de PRG-PS-Centristes-gamelliste,etc.),sans parler des nationalistes et même du FN ou apparentés,prônant toutes une autonomie plus ou moins étendue comme une simple étape ou finalité.

    2. centuri

      Les autonomistes qu’on le veuille ou non représente un point d’appui pour permettre à notre peuple de recouvrer le sens de l’intérêt général dans le respect de ses spécificités et de sa culture. Le PCF en Corse ne représente plus rien si ce n’est une certaine compromission avec les clans. Pour ceux qui connaissent la réalité de l’île, il s’agit d’un parti moribond, rien à voir à ce qu’il a représenté après guerre aux effectifs squelettique, 145 votants au dernier congrès pour les deux fédérations et moins de 290 adhérents malheureusement bien âgés à l’image de Bucchini, denier leader charismatique du PCF en corse et qui a perdu sa mairie ! S’allier à cette « charette » constitue à mon avis une aberration. Et je souhaite que la dizaine soit disant insoumis égarés dans cette aventure se reprenne, mais de toutes façons le résultat des prochaines élections leur donnera la leçon qu’il convient aux myopes.

  11. Deeplo

    Bravo et merci de votre détermination. Nous ne lâchons rien. L’attitude du PC à notre endroit est un encouragement. Stalinien un jour, stalinien toujours. Toujours prêts à dénigrer en travestissant les faits ou bien à pactiser avec l’oligarchie PS pour conserver ses avantages de caste. S’approprier notre logo après nous avoir insulté dans la presse des multinationales… La nomenklatura dans toute sa laideur, aux méthodes médiocres et glauques. Seuls 2% d’électeurs sont encore responsables qu’on nous inflige ces remugles. Bientôt débarrassés. Et il faudrait ne plus en parler. Tant de communistes nous ont rejoints et partagent leur énergie militante, leurs convictions. C’est ça l’important. Nous créons un vaste mouvement social, d’un genre nouveau, et fort d’une base populaire remarquable. Tout ce qui appartient de près ou de loin à l’ancien monde essaiera toujours de nous freiner. Sans succès.

  12. Pat

    « Pourquoi l’Europe ne fait pas le ménage ?… Est-ce qu’il y a une volonté politique commune ? » (Juge Van Ruymbeke, sur la question de l’évasion fiscale )
    Si on regarde l’histoire pré-européenne, on constate qu’il y a toujours eu la volonté de certains états (et groupements d’états) riches et puissants, en Europe, de profiter des paradis fiscaux pour leurs propres intérêts. Ces places bancaires ne sont pas du tout placées au hasard, sur la carte, et tout état (pardon : toute ploutocratie à peine déguisée en démocratie) y trouvera des intérêts évidents. Tout budget, au niveau d’un état, est colossal et demande certaines marges de manoeuvre, pour rester poli et dans le doux euphémisme, que permettent largement ces paradis fiscaux. Il faut donc être aussi naïf ou légaliste que Van Ryumbeke pour s’imaginer un seul instant qu’un quelconque « ménage » serait fait un jour par les représentants de ces états (France y compris, bien entendu ).

  13. Pierre Mayar

    Paradis fiscal ? On en trouve toute sorte de variantes sophistiquées et sous notre nez, ici en France. L’autorisation par exemple de passer des terrains agricoles en constructibles à des groupes privés (sous couvert d’intérêt général) pour aménager de vaste zones commerciales. La collectivité publique vend au prix agricole (par exemple 2,40 € le m2) à des aménageurs pour le compte de la grande distribution des terrains qui peu de temps après deviennent constructibles évaluées à 20 € le m2, oups !). Certains auront reconnu ici l’exemple emblématique des agissements de M. Collomb (ministre de l’intérieur mais surtout à l’époque président du Grand Lyon). Le manque à gagner est considérable, partout en France pour l’argent public et surtout les terres agricoles disparaîssent au profit des parkings de grandss enseignes. Que pense M. Hulot de sa cohabitation avec M. Colomb au sein du gouvernement ?
    Mais pour revenir spécifiquement au propos, n’est pas une façon d’échapper au…

  14. D.SANTONI

    Les députés nationalistes corses ont été élus démocratiquement comme Macron, les uns et l’autre par une majorité de votants ! Que Jean-Luc Mélenchon souhaite les rencontrer me parait être plutôt une bonne idée. Puis-je me permettre de lui suggérer de leur poser quatre questions ? Est-ce leur conception de la laïcité de fixer au 8 septembre la fête « nationale » en l’honneur de la Vierge Marie ? Celle de la liberté que d’imposer l’apprentissage du corse à tous les enfants ? Celle de l’égalité que d’interdire à quiconque ne réside pas en Corse depuis 10 ans d’acquérir un bien immobilier ? Celle de la fraternité que de tolérer, pour le moins, les inscriptions sur les murs et les routes « arabi fora » ? Je m’interroge par ailleurs sur les raisons qui font oublier les résultats du référendum de 2003 qui avait donné la majorité au « non » à la collectivité unique. Enfin rien d’étonnant à ce que le PCF usurpe la bannière de la FI qui lui permettra de ne pas endosser leur très prévisible…

    1. PIERRE 93

      Je me permets de rajouter une question : quels sont les rapports entre les nationalistes et le grand banditisme ?

  15. Ecureuil66

    Je n’apprendrais certainement pas grand chose à ceux qui tractent en ce moment : combien de fois n’a t’on pas entendus « et moi qui ai voté Macron… » en prenant le tract que nous tendions avec un joyeux « Les mesures fiscales de Macron, le papa noël des riches ! » ca nous réconforte paradoxalement de voir toutes ces mines déconfites. Mais nous ajoutons : « la messe n’est jamais dites ! ». Allez au boulôt ! Nous avons prévu d’amplifier le tractage (prétexte pour aller à la rencontre de nos concitoyens), 4 semaines consécutives, 7/7. Nous ne sommes pas déprimés, bien au contraire, pleine forme ! Groupe d’Actions des Insoumis de Toulouse.

    1. Jacques

      Hélas on entend aussi de la part de retraités « aisés » qu’il faut participer à l’effort national en soutenant Macron. Quand on leur parle de Mélenchon, alors là c’est le bouquet : un incapable. Leur rétorquer que leur effort part directement à ceux qui n’en font pas et que Mélenchon n’est pas seul mais est entouré de personnes toutes aussi capables et même supérieurs que celles de la bande à Macron, ils détournent les talons et restent dans leurs certitudes.
      On n’est pas encore sorti des ronces !

    2. Siamy

      Et aux prochaines élections présidentielles, quand Macron sera désigné pour prendre des responsabilités de leader Européen au vu de la réussite de la casse réalisée en France, notre bon peuple qui épongera de nouveau la propagande télévisée, votera pour le nouveau « tartampion » qui lui sera désigné. Sera t’il au moins capable de tirer les leçons des élections précédentes, rien n’est moins sûr.

  16. Nath

    Très bien ta question écrite, Jean Luc, sur les baisses de subvention continues des DRAC, mais pourquoi la cantonner au seul cas de Marseille ? Nous interpellons tous les ans les CA de nos lycées sur ce sujet, qui est national. Comme tu le répliquais avec justesse lors de ta campagne, la FI n’a pas de députés clientélistes qui seraient des Présidents de conseil départementaux améliorés, mais des députés de la nation, qui donnent une dimension nationale à tous les problèmes soulevés. Merci de se battre pour le rétablissement des subventions de toutes les Drac.

  17. Jb filibert

    Tous les sujets étant importants on ne peut les hierarchiser, merci d’avoir abordé la privatisation de la SNCF notamment en PACA, qui passe sous les radars dès média bien évidemment. Au-delà de l’alerte à donner, le scandale de la nouvelle voie Marseille Nice fera-t’il l’objet d’une démarche a l’Assemblee Nationale (commission d’enquête, question écrite au ministre…) de la part de notre groupe parlementaire ? Bon courage pour la suite.

  18. Bob maucoudinat

    Je m’inscrit en faux, Macron n’est pas le président des riches mais celui des hyper-riches, ceux qui ont tellement de fric qu’ils peuvent spéculer dans le chaudron international du turbo-capitalisme. Pour exemple, les 1000 personnes les plus riches en France (800 000€ et plus par an) vont recevoir une baisse d’impôt de 106 000 euros en 2018. Merci Macron ! Le budget 2018 prévoit une baisse de recettes de 9 Milliards environ. C’est a peu près comme si on décidait de déscolariser 600 000 élèves de l’école publique et de les forcer à aller dans le privé à 15 000 Euros par an, comme ça s’est fait en Angleterre pour les étudiants avec Blair et Cameron. Il est vrai que ça c’est compliqué, il vaut mieux manipuler des enfants et parler de la « violence » de Jean-Luc Mélenchon, du logement de Danielle Simonnet (loyer qu’elle paye plein pot), de la chemise de Ruffin, etc. Boycottons ces émissions de chiens de garde. Lisez plutôt « le manifeste négawatt » actes sud préface Stéphane Hessel.

  19. Abbé Béat

    Cette histoire de « point » marqué par Macron, dont je n’ai pas compris d’ailleurs la signification exacte, fait trop long feu. Pour moi, c’est une expression malheureuse à laisser tomber dans l’oubli, car elle donne à Macron une certaine légitimité, dans un combat loyal, entre adversaires loyaux. Ce qui n’est pas le cas, quant au fond, du côté Macron, même si son élection est légale. Parlons de choses plus importantes et clairement exprimées.

  20. morvan

    Il me semble, pour ce qui est du ferroviaire, que l’on doit revenir plus loin en arrière que la campagne présidentielle en ce qui concerne les intentions de Macron. Sa « loi » (déqualifiée du vocable, de par son invraissemblable nombre d’articles, et le fatras constitué par ceux-ci) 2015-990, du 6 août 2015, imposée par 49-3, et par ailleurs continuité d’application des « rapports-Programmes » Attali de 2008 et 2010, eux-mêmes application des instructions de l’UE, commence sous le Titre 1er Libérer l’activité, Chapitre I Mobilité, par une vingtaine d’articles modifiant tous les législation et réglementation des transports en commun, dont article 1er création de l’ARAFER associant le ferroviaire et le routier dans ses prérogatives de régulation. L’ARAFER est aujourd’hui à la manœuvre pour l’ouverture à la concurrence du ferroviaire. Et la lecture des versions originale et actuelle de ces articles donne la mesure des intentions de l’époque.

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