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56 commentaires


  1. putti marielle

    Merci Monsieur Mélenchon pour toutes ces explications et j’espère qu’à l’occasion de votre passage télé vous pourrez aborder les sujets importants sans être malmené par les trois pseudos « spécialistes » que j’exècre personnellement et permettre ainsi que le programme l’Avenir en Commun soit mieux perçu ou à mon grand regret juste découvert. Sachez que nous sommes nombreux à vous soutenir !

  2. Yves Thiébaut

    Bravo ! OK (d’accord, en français) sur toute la ligne. Et pourtant, les sujets évoqués sont nombreux, importants et même vitaux. Heureux de savoir que nous sommes si nombreux à partager ce mouvement, cette vague !

  3. Romain

    Très content de ce que va devenir ce mouvement. Un vrai réseau, une organisation gazeuse qu’on retrouvera partout au cœur des indignations dans notre pays. Je vais bientôt en parler sur ma chaîne Youtube.

  4. MP Langeais 37

    « La liberté d’action est la méthode »
    Oui quand ceux qui veulent s’organiser pour mener des actions ne sont pas torpillés, vilipendés par des jansénistes de la Charte mise à toutes les sauces, brandies comme des textes sacrés, qui condamnent à l’immobilisme et au repli sur soi. L’inorganisation de la FI, le prêche à tous prix de l’autonomie des croupes d’appui (d’action) réduits trop souvent à des coquilles vides, n’incitent guère à s’engager davantage qu’en cliquant sur internet. Certes il est bien de considérer et de se prémunir des risques d’apparition d’apparatchiks potentiels. Mais que penser d’une équipe dirigeante nationale qui décide de tout et qui n’a pour seule légitimité (ce qui n’est déjà pas si mal) d’avoir mouillé la chemise dès le début, mais dont aucun des représentants (hors nos députés) n’a été élu. Pourquoi ne pas imaginer localement des « référents » tournants. Nous avons aussi besoin de nous structurer à tous les échelons des…

    1. Francis

      Je suis l’un de ces « cliqueurs ». Je ne suis dans aucun groupe d’action, ce qui ne m’empêche pas de commander des tracts de la FI sur la plateforme et de les distribuer dans mon quartier. FI est le seul mouvement ou parti qui est présent dans ce quartier. C’est peu sans doute mais c’est tout de même une présence. D’autres s’impliquent autrement et au bout du compte ça fait un mouvement. Sinon quoi et qui ? Pourquoi ne pas constituer votre groupe si vous êtes freinés dans l’actuel. Quant à l’équipe dirigeante qui déciderait selon vous de tout, il m’apparait au contraire que les animateurs du mouvement veillent à ce que tous les « cliqueurs » puissent prendre part aux décisions fondamentales (ce que nous avons fait dans le cadre des conventions passées et celle à venir). La charte des groupes a précisément comme objectif d’empêcher que se constituent des strates et des instances qui prendraient le pas sur les groupes, d’où le refus d’instance décisionnelles locales ou…

  5. Dionys

    Muchas gracias por Chile ! Oui ce pays nous étions en première ligne pour la solidarité avec les émigrés après le 11 septembre.
    Merci pour toutes ces infos justes, pertinentes, que l’on ne trouve pas ailleurs qu’ici. En ce moment-même, le fascisme montre ouvertement son groin en Espagne sous la forme d’insultes et menaces envers des émigrés et reprenant mot à mot les devises d’Hitler. Le plus inquiétant, c’est que ce sont des policiers municipaux, portant armes et insignes. Voilà qui devrait faire davantage réfléchir les indépendantistes catalans. Merci pour tout compañero !

  6. charlotte mourlhon

    Dans les landes, des insoumis se sont réunis et ont débattu sur la charte, les principes, en présences des personnes élues à la convention, des précisions seront demandées mais nous sommes tous d’accord avec l’esprit de la lettre et nous ne voulons pas de structures partidaires.
    @MP Langeais
    Non il n’y a pas une équipe qui décide de tout. Chaque groupe d’action peut agir dans le respect de « l’avenir en commun ».
    Amitiés et fraternité

  7. morfin

    J’attends puisque la revendication d’expression libre apparait, l’analyse dite « moins faible » sur la crise allemande, car nous sommes tous intéressés d’avoir de meilleures connaissances sur ce sujet et d’autres aussi. Il semble que le national soit décrit comme non élu et décisionnel mais la coordination avec les tirés au sort devrait apporter un changement à tout çà. Si un député n’a pas apporté de réponse pratique pourquoi ne pas l’interpeller à nouveau jusqu’à une réponse ou aller le voir devant l’assemblée tout bonnement, çà marche très bien ! Ou même à son siège et rencontrer l’attaché parlementaire, çà marche très bien aussi, et ceci quelle que soit l’étiquette politique. Si la personne qui a toutes ces revendications monte un site FI on y adhérera.

  8. Francis

    Il faut peut-être commencer par admettre que le fait de donner à tous les participants à la FI le moyen de participer aux choix des orientations essentielles du mouvement est infiniment plus démocratique que de voter pour une direction qui au final n’en ferait qu’à sa tête. Fort heureusement la FI n’est pas un parti traditionnel car je n’y serais pas (et bien d’autres comme moi). J’ai longtemps été membre d’un parti « démocratique » qui élisait ses dirigeants. Ce parti n’a jamais consulté ses adhérents quand par exemple il s’agissait de nouer des alliances électorales. C’étaient les dirigeants qui décidaient de tout au nom de leur légitimité. Vous demandez un espace permanent de libre expression. . Celui-ci existe sur Facebook sur la page de la France Insoumise. Nous avons un programme validé par un vote massif. Maintenant il faut agir pour convaincre une majorité que sa mise en œuvre est vitale pour notre peuple.

  9. Jean Louis

    Je suis en général et même très souvent sur la même longueur d’onde que vous Mr Mélenchon, en gros depuis 2005. Il y a un point qui me surprend c’est votre critique acerbe permanentent de la situation en Corse alors que pourrait se décider là bas une forme d’intégration de toutes les forces de gauche hostile franchement à Macron. Vous avez raison sur le fait de vouloir discuter et traiter les problèmes des régions et donc de discuter avec les autonomistes même s’ils ne sont pas franchement avec des valeurs de gauche mais en quoi permettre une fusion des forces de gauche en Corse serait elle un frein à cette discussion. Je ne comprends pas. Vous aller manquer une occasion de fédérer autour de la FI, même informellement compte tenu des rapports de force, ce qui reste de vrais « socialistes » dans notre pays et de combattre de fait la position à géométrie variable du PCF.

    1. François 70

      Une occasion de fédérer ? Mais fédérer quoi, qui ? Les débris corses de la « gauche plus rien » ? Un peu de patience, le score infinitésimal qui s’annonce pour la liste PCF devrait vous éclairer.

    2. centuri

      C’est peu connaître la situation concrète en corse: un PC qu’on le veuille ou non agonisant et discrédité, vieillissant et groupusculaire, des clans dont certains mafieux aux aguets, depuis des décennies, une gauche social-démocrate (si on peut dire !) disparue des écrans radars, un PRG naufragé et clanique, donc il faut reconstruire et à mon avis cela ne peut se faire qu’en nouant un dialogue avec le courant autonomiste, seule force qui a réellement émergé et susceptible de faire avancer sur le plan démocratique, social, écologique et culturel cette île. la fédération avec les « has been » d’une gauche qui n’existe pas n’a de mon point de vu aucun avenir.

    3. Jean-Paul B.

      Je pense que vous faites une erreur en attaquant la liste La Corse en Commun,seule liste anti-libérale, menée par le candidat de LFI en aux législatives de juin et que vous (dis)qualifié aujourd’hui « d’ancien communiste ». Ce qui inquiète c’est la complaisance dont vous faites preuve à l’égard de ceux que vous appelez les autonomistes. Ceux-ci représentent d’abord et surtout les intérêts de la bourgeoisie locale (entrepreneurs, professions libérales,…) qui n’a qu’un seul objectif, se libérer rapidement des lois sociales et fiscales « françaises » tout en continuant à bénéficier de la transfusion que représentent les aides diverses financées par tous les contribuables de Corse et du continent. Pour assurer votre analyse et surtout éviter de d’engager dans une impasse ceux qui vous font confiance en Corse, je vous adjure de vérifier scrupuleusement toutes les informations que vous font remonter ceux que vous croyez être les « vrais » militants de LFI en Corse.

  10. Villegas José Marie

    Il serait temps de réanimer le PG pour éviter les falsifications comme en Corse car je penses il en est de même à Issy les Moulineaux et Boulogne dans le 92.

  11. Thémarie

    Je partage l’idée de ne pas reprendre les formes traditionnelles partidaires et de se donner le temps d’inventer une vie démocratique qui ne se limite pas au vote. La démocratie ne se fera pas en une convention ! Mais il ne me semble pas juste pour autant de trancher définitivement des questions qui doivent mûrir et s’expérimenter. Il faudra aussi faire des bilans des expériences, des responsabilités prises, des actions menées, des prises de position, des modes de fonctionnement. Un exemple, le tirage au sort est-il un mode de représentation satisfaisant pour les conventions et pour les groupes d’action qui ne sont pas qu’une somme d’individus mais des collectifs ? Pas si sûr ? Tout cela mériterait l’installation d’un groupe de travail permanent sur le fonctionnement démocratique du mouvement ouvert à tous comme les autres.

    1. Guy-Yves Ganier d'Emilion

      @ Thémarie
      Je seconde cette idée d’un « groupe de travail permanent sur le fonctionnement démocratique du mouvement ouvert à tous ». Dans la dernière consultation sur les principes de la FI, un contributeur avait proposé que soit créé un pôle opérationnel « Démocratie interne », « chargé de fédérer les hypothèses, lancer des expérimentations, et mettre en oeuvre les conditions de participation de chacun au mouvement dans son ensemble ».

    2. sdm94

      Faut pas rêver ! Il suffit de faire un retour d’expérience sur le m6r. Après 9 mois de vie intense, il est progressivement tombé dans le coma par le verrouillage de l’équipe nationale d’animation dont l’unique obsession était de garder jalousement la communication externe du mouvement assortie d’une crainte paranoïaque de se faire déborder par la base.
      Une des demandes principales des signataires était de disposer d’une plateforme permettant un système de référendums d’initiative des signataires. Demande qui n’a jamais été prise en compte. Nous avons par contre eu l’occasion de voir que les consultations initiées par l’équipe nationales étaient suffisamment « manipulatoires » pour qu’au final les positions de cette équipe soient plébiscitées.
      D’autres demandes n’ont jamais été exaucées comme disposer d’un Wiki pour partager les productions des groupes locaux ou thématiques (voir pour exemple les wiki de Nuit debout, du parti pirate ou des gentils virus) ou encore de pouvoir au niveau local de disposer des mails des signataires du territoire…
      Comme l’équipe d’animation du m6r de l’époque est aujourd’hui le cœur de la jeune génération du noyau central de la FI, j’ai quelques craintes pour la suite.
      Pour info depuis 15 jours la plateforme de débat du m6r « Nous le peuple » ne réponds plus !

  12. Savestre Christian

    Merci, monsieur Mélenchon. Vraiment merci. C’est limpide.

  13. marco polo

    De tous les événements qui jalonnent la vie politique depuis des années, le mouvement de LFI est sans aucun doute à mes yeux la plus grande perspective qui s’ouvre pour faire (enfin) surgir les changements profonds dont nous avons besoin. Un outil indispensable dépassant les vieux clivages et les traficotages de pouvoir qui ont toujours fait capoter les changements. La LFI est incontestablement le moyen qui permettra de fédérer le peuple. L’enfant est né et il va grandir !

  14. Alain b

    J’apprécie toujours la perspicacité de vos analyses de notre environnement. Sur celles concernant la FI et le mouvement, il me semble que la tonalité quelque peu sur la défensive voire agassée laisse entrevoir que vous avez bien perçu un certaine certaine grogne interne sur le fonctionnement démocratique et répondre que chacun fait ce qu’il il veut et que les collaborateurs de l’équipe nationale ont la légitimité de leur dévouement est un peu court. Mais comme vous le dites nous sommes en (un) mouvement.

  15. Bob maucoudinat

    FI c’est un mouvement vraiment neuf qu’il faut co-construire ensemble. La démocratie interne elle ne va pas se faire toute seule, elle ne résultera que de la bonne volonté de chacun, y compris dans la maîtrise des conflits et désaccords qui sont autant de témoignage de la dynamique du mouvement. Si on arrive à gérer ça, tous les espoirs sont permis.

  16. Camel

    Election en Corse. La question est : comment se fait-il qu’il n’y est pas de liste LFI ?

    1. dume2b2

      Parce que des insoumis sont dans la liste d’union. Et que les quelques uns en désaccord ne sont pas en nombre suffisants pour en constituer une.

    2. Jean-Paul B.

      En Corse la plupart des militants de LFI a compris que l’intérêt des petites gens est d’avoir une représentation à la Collectivité Territoriale et que l’émiettement en listes concurrentes ferait courir le risque de ne pas atteindre le seuil requis pour avoir des élus. Sachez aussi que la liste La Corse En Commun est la seule à présenter de nombreux salariés syndicalistes attachés au bien commun, contrairement aux politiciens professionnels présents sur toutes les autres listes. Enfin ceux qui à LFI (y compris Jean-Luc Mélenchon), voient désormais les nationalistes (et non les « autonomistes ») avec les yeux de Chimène, devraient bien les ouvrir pour vérifier que les 3 députés nationalistes corses n’ont pas payé leur « ticket d’entrée » dans l’opposition à Macron lors du vote sur les Ordonnances contre le Code du Travail car ils se sont abstenus (comme tous les libéraux de la « fausse opposition »). On a beau tergiverser, les faits sont toujours plus éloquents que les mots !

  17. Degorde

    Très bon commentaire, mais il faut arrêter cette fixette sur l’Allemagne. L’Allemagne quel que soit son gouvernement ne fait qu’exiger l’application des traités librement négociés et signés par les états membres de l’UE. Les allemands sont ainsi faits qu’ils tiennent au respect de la parole donnée et des engagements souscrits. On ne peut pas sérieusement affirmer que l’Allemagne a réussi à tout imposer en Europe, ça n’est pas exact. Les exigences du gouvernement outre Rhin sont les mêmes que celles des Pays-Bas par exemple. En outre l’influence des gouvernements allemands est encore plus sensible dans les pays de l’Europe de l’est.

    1. GG

      Je crois que vous vous trompez. Lors du passage de la monnaie commune, l’ecu, à la monnaie unique, l’euro, H Kohl a été très clair, c’est oui à condition que l’euro soit calqué sur le modèle du mark. Monnaie forte, avec une BCE indépendante du politique, dont l’objectif premier est d’empêcher toute inflation, obsession de tout le peuple allemand et conformément une doctrine économique allemande « l’ordolibéralisme », dont le dogme de départ est que l’état ne doit pas intervenir dans l’économie. Il n’y avait peut-être pas de de volonté hégémonique, peut-être seulement une peur obsessionnelle de l’inflation par le peuple allemand. Il faut également préciser que pour qu’une directive européenne soit appliquée en Allemagne, il faut l’accord de la cour de Karlsruhe. Là où vous avez raison c’est si tous les pays, dont la France refusent de s’opposer à l’Allemagne, CDU et SPD compris, on ne peut pas leur reprocher de défendre leurs intérêts, sauf sur la question des excédants commerciaux.

    2. kokkino

      Non, l’Allemagne ne fait pas qu’appliquer les traités librement négociés et acceptés par les autres états européens. La politique des excédents « excessifs » (interdits par ces traités européens et qui devaient faire l’objet de sanctions) comme il y a des « déficits excessifs » qui est au cœur de la stratégie du gouvernement Allemand se nourrit du pompage des richesses des autres pays européens en les appauvrissant, de l’asservissement des anciens pays de l’Est et pour garantir tout cela de la mainmise systématique sur les institutions de l’UE. Notez qu’il n’y a qu’un pays de l’UE dont la souveraineté est jalousement préservé : l’Allemagne. Cherchez l’erreur !

    3. PIETRON

      Il n’y a pas de germanophobie dans le fait de constater l’hégémonie allemande. Les Grecs sont laminés sur ordre d’un Schauble avec l’assentiment de Merkel. L’Allemagne assure les intérêts des Allemands et a un comportement bien plus souverainiste qu’il n’y parait. L’Europe de l’est proche géographiquement est un vivier de main d’oeuvre (très) bon marché pour la production allemande ce qui explique en partie ses excédents commerciaux. Cela dit, les gouvernants allemands ont su tirer profit de l’UE telle qu’elle s’est construite via Maastricht, puis Lisbonne. Elle a su tiré son épingle du jeu face à des nations, dont la France, ont abdiqué et se sont couchés devant le capitalisme rhénan. Les capitalistes par la suite s’entendent et les peuples trinquent. Ne pas cibler les responsabilités politiques d’où qu’elles viennent condamne à la manipulation et à l’immobilité, ou aux conflits qui ont marqué le monde de leur empreinte via l’Allemagne (une réalité).

  18. Noëlle NM

    « Cette équipe est au top. Le mouvement n’a plus besoin de moi comme aux premiers jours. Et c’est sans doute ce que je considère comme ma plus belle réussite même si je sais que je dois la partager avec celles et ceux qui menaient la barque avec moi ces dernières années. »
    Comme vous avez raison ! Quelle belle équipe et quelle magnifique réussite, effectivement. Tout arrive en son temps (même si à mon âge on aimerait que les gens se réveillent plus vite). Notre programme est prêt et ceux qui le porteront sont déjà sur leurs cales de départ pour l’appliquer !

  19. Henry J

    À l’évidence Jean-Luc Mélenchon se délecte ici à jouer les Cassandre en prédisant tantôt « l’embrasement » tantôt « l’effondrement » d’un système honni, le capitalisme néolibéral globalisé. Sauf qu’il semble oublier que la réalité est toujours complexe et que le cours de l’histoire n’a rien de mécanique. Ni l’une ni l’autre ne se laissent enfermer dans des formules toutes faites ou interchangeables. Par ailleurs, choisir ses vrais amis et ses informateurs est nécessaire si l’on ne veut pas aller au-devant des déconvenues. S’agissant des élections chiliennes et du résultat du FA ou Front Ample, Jean-Luc devient tout feu tout flamme croyant y voir l’émergence d’une FI chilienne. Pourtant qu’attendre, sur fond d’abstention très majoritaire, d’une coalition de 14 formations allant de la gauche alternative aux libéraux, dont la leader, Beatriz Sanchez, dénigre pêle-mêle Cuba, le Vénézuela, et même Salvador Allende, l’ancien président socialiste chilien.

  20. lucien

    La nature du mouvement, bien rappelé par Jean-Luc Mélenchon, me semble adapté aux nouveaux besoins des gens, avec sa boussole : le programme et cahiers thématiques et toute l’équipe opérationnelle qui le fait vivre. Le retour au fonctionnement partidaire de triste mémoire nous ferait considérablement régressé jusqu’à probablement disparaître. Alors non les nostalgiques ou les apeurés de l’autonomie des groupes d’action devront s’y faire, on ne reviendra pas en arrière. Faisons confiance aux jeunes et aux gens qui veulent en finir avec le libéralisme.

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