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60 commentaires


  1. Vega

    Macron annonce « Je pense que d’ici fin février, nous aurons gagné la guerre en Syrie ». Rien n’arrête l’égo de l’empereur qui ne sait pas que la guerre a déjà été gagnée grâce aux énormes sacrifices de l’armée Syrienne, des Kurdes et de l’aide russe qui a su clarifier bien des choses (y compris les crimes de la coalition proaméricaine, France incluse) et faire avancer l’essentiel sur le plan militaire et diplomatique. En fait Macron annonce surtout la victoire de la défaite de la coalition qu’il prévoit, officielle, fin février. En attendant si vous voulez en savoir plus, lisez plutôt Le Grand Soir concernant ce sujet.

  2. Philippe31

    Jupiter à Chambord, l’interview à sa gloire, et cette courbe de popularité qui grimpe… Exaspérant. Les ministres millionnaires, les voitures de « l’écolo » Hulot ? Les critiques sont aussitôt balayées. La polémique sur la mort de Johnny et ses funérailles grandioses ? Oubliée. Macron trône. Plus une personne dans la rue d’ici la fin de l’année, avait-il promis-juré : pour la seule ville de Toulouse, on dénombre 600 migrants dans le froid ou dans des centres d’hébergement où l’on viendra faire le tri. C’est cela la révolution macronienne ? Pendant ce temps, Jean-Luc Mélenchon continue de se faire étriller dans les médias et l’on se gausse du pourtant brillant Quatennens et de ses amis. Mais tout cela, espérons-le, ne fera qu’accentuer, chez les Insoumis, un sentiment qu’un jour viendra couleur d’orange…

    1. Henry J

      Pas seulement « chez les insoumis », car on pourrait attendre longtemps encore le jour « couleur d’orange » (Aragon). Il faudra bien que l’on se reparle les uns et les autres, et que l’on abandonne les postures d’hégémonie et de sûreté de soi-même.

  3. André

    @Guillaume
    « caution sur une chaîne privée »
    Personne ne peut contester que les chaînes publiques sont plus hostiles à Jean-Luc Mélenchon et FI que les privées. Le souci d’audience ne peut être que celui des chiens de garde. Il suffit de relever les insanités, le niveau, le parti pris, la sélection, les anesthésiants, chuchotés sur la station publique censée être meilleure que le reste, France Culture, pour être définitivement convaincu que très peu est à sauver dans le secteur publique.
    « aucun média n’a parlé de ton intervention »
    Nous n’observons pas le même champ audiovisuel.
    « j’ai un peu de mal à suivre tes réflexions sur les médias. »
    C’est le reproche fait par les chiens de garde. La seule chose qui est demandé c’est l’honnêteté d’annoncer le « lieu d’où l’on parle ». Claire et nette. Impossible équation pour les C d G. Ce serait très bien, non ? Delahousse est bien où il est, comme preuve de ce qui est contesté. […]

  4. daniel le meur

    Merci pour tous ces éléments de compréhension et excellent reportage sur les conditions de logements. Ca c’est du bon boulot de terrain, il faut le faire connaître.

  5. franctpf

    Une autre lutte à mon avis s’avère indispensable sinon vitale pour notre démocratie. C’est en effet la création d’un Conseil de Déontologie du Journalisme qui vous préconisez Mr Mélenchon. Pourquoi je mets en avant les problèmes du journalisme par rapport au reste, c’est parce qu’ils affectent notre vie quotidienne et que malheureusement la grande majorité des citoyens et des citoyennes de notre pays ne s’identifient plus que par le bréviaire médiatique instillé en permanence. « J’ai entendu ça à la radio, ou j’ai vu ça à la télé » plus aucune, ou si peu, recherche personnelle pour se faire une opinion, tout passe par le filtre de la propagande macroniste. J’ai souffert avec vous lors de l’émission sur France 2 qui reflète bien la connivence des journalistes avec le pouvoir. Le régime a fait main basse sur tout ce système en y associant si besoin la « sondagite » pour optimiser la popularité du monarque et de sa cour qui s’affichent désormais au château de Chambord.

  6. morfin

    Il y a effectivement un travail sur les sondages pour prouver les 11 points de remontée du jeunot depuis les journées Halliday et Chambord. Nous devrions repenser à l’outil (trop cher ?)des meetings avec hologramme qui avaient eu un fort impact sur ceux qui ne lisent pas les blogs, ne vont pas aux conférences ou groupes d’appui ou action.

  7. Jérôme Joslin

    C’est bien de montrer que LFI n’est pas le nationalisme, mais bien le contraire, solidaire, faisant partie de l’Europe, mais pas celle des riches. Il faut lever toute ambiguïté. Pour l’Europe Insoumise.
    Les études. C’est de pire en pire. Nous voyons tous des jeunes broyés par le manque de moyens, pour pouvoir s’organiser, n’en déplaise aux premiers du moment. Nous devons nous investir dans leurs luttes qui viennent. Concernant l’écologie, Macron a pris comme légitimité Hulot, dont le côté négatif était peu connu. L’icône intouchable, grâce aux médiats des milliardaires à qui il le rendait bien à travers des pubs, s’avère un pollueur personnel hors norme (9 véhicules à moteur). Le Diplo avait révélé les financiers de ses activités : parmi les plus grands pollueurs du monde. Les mêmes à qui M et H confient l’avenir de la planète. Nous devons sortir toute info dénonçant l’imposture. Montrer leur illégitimité écolo, à commencer par le tartuffe Hulot. Respect aux seuls…

  8. masselot

    Je suis complètement écœuré, dans notre belle société aux portes feuilles rutilants, de voir comment on traite nos jeunes et nos anciens. Si on ajoute le nombre de personnes qui vivent bien en deçà du seuil de pauvreté, je ne suis pas sur, mais alors pas sur du tout que notre gouvernement oeuvre en faveur de la majorité. Etre un jeune cadre bien portant, voila le but ! Il est temps de repenser tout cela !

  9. patrice 30

    J’en ai plus qu’assez de ce journalisme de complaisance. Normalement et si les soit disant journalistes faisaient bien leur boulot il ne devrait pas y avoir de différence de traitement quelque soit l’interlocuteur en face d’eux. Leurs questions au lieu d’être des pièges pour certains et de la brosse à reluire pour d’autres devraient permettre aux invités politiques quel qu’ils soient de pouvoir s’exprimer et s’expliquer librement. Nous en sommes loin et les règles de déontologie sont violées. Leur travail est mal fait et les émissions politiques tournent à la corrida médiatique sans intérêt et bientôt sans audience. Les lèches bottes style Aphatie, Mazerolles etc. devraient être remplacés. Nous ne sommes plus du temps de Zitrone mais de l’internet et je le souhaite d’une plus grande liberté de paroles pour tous sinon cela sera le désert sur les chaînes.

    1. william

      J’ai assisté à l’intervention récente de Jean-Luc Mélenchon ce dimanche matin et son déroulement ne correspond pas du tout à ce que vous dites. Jean-Luc Mélenchon a pu y dérouler son argumentation à partir des questions politiques posées sur l’actualité et les problèmes de fond. Rien qui puisse laisser penser à un quelconque mauvais traitement. Le problème est ailleurs : c’est l’usure politique qui confine à l’ennui dans ce genre de débat.

    2. L.Boucher

      @William
      L’émission dont vous parler a été bien menée : les journalistes présents savaient qu’ils ne pouvaient pas reproduire les méthodes infectes utilisées par France 2 lors de l’Émission politique. Rien de surprenant là-dedans. Et preuve qu’il est drôlement utile de protester et de lancer une pétition pour qu’il soit possible de porter plainte contre les journalistes qui mentent sciemment. D’ailleurs, cette pétition approche les 200 000 signatures.

    3. Bata

      200 000 signatures certes, mais la FI à elle seule compte 500 000 adhérents. En clair, cette pétition n’a même pas réussi à mobiliser à l’intérieur de notre propre mouvement ! Le pouvoir va donc s’en laver les mains et j’ai bien peur qu’il n’en faille bien plus que cela pour faire changer la dominance de caste médiatique.

  10. arthur 2

    Oui il faut le créer ce Conseil de déontologie du journalisme, mais il ne faut pas faire une obsession sur les méthodes actuelles que nous connaissons depuis belle lurette. Clémentine Autain a fait un excellent exercice de pédagogie en commentant point par point (à la journaliste qui l’interviewait) les propos de Macron. Calmement, clairement, elle a mis en évidence le décalage entre le discours et la réalité sur le terrain. Nous capterons l’insoumission rampante en montrant plus d’optimisme et moins de gémissements.

  11. Henry J

    Pressé par l’actualité, Jean Luc Mélenchon va parfois trop vite en besogne. Ainsi quand il affirme que « on n’a jamais construit une nation à coup de trique » ou avec des « troupes qui cantonnent ». Hélas, ces assertions sont démenties par notre histoire de France. C’est ce qu’ont fait la monarchie absolue du « grand siècle », plus tard la Révolution bourgeoise et la grande terreur de 1793, le 1er et le Second empire, et même la IIIe république naissante qui n’hésitait pas à envoyer la troupe contre le mouvement ouvrier.

  12. Ariane

    Cher Monsieur Mélenchon,
    D’habitude, je suis en adéquation avec les solutions que vous proposez pour la France de demain. Toutefois, je me dois de vous dire que votre intervention contre la Suisse est non seulement mal venue (au regard de la quantité de travailleurs français que la Suisse fait vivre… et plutôt confortablement), mais également profondément injuste. En effet, ce petit pays n’a eu de cesse depuis une dizaine d’année de répondre positivement à toutes les demandes de vérification et a modifier profondément son système bancaire, mais vous auriez été bien mieux inspiré d’attaquer la City qui fait bien davantage de dégâts. Mais évidemment, s’attaquer à un petit pays est bien moins inconfortable que s’attaquer à un pays qui abrite des fraudeurs aussi puissants que la City. Je suis profondément déçue par votre attitude que je mettrai sur le compte de la déception de voir votre combat si peu « rentable ». Je vous conseillerais de vous renseigner un peu plus honnêtement.

    1. David Cohen

      La grande majorité des exilés fiscaux Français se sont réfugiés en Suisse. Cela fonde suffisamment la demande à nos riches voisins de faire un geste. Ils savent que leur richesse débordante n’existe que grâce à la majorité des exilés fiscaux du monde. Cela va des « stars » de toute sorte aux politiques spoliateurs de leur peuple, en passant par les industriels, commerçants. Il est vrai que pour gérer tout cet argent volé, entretenir les biens de ces honnêtes gens, il faut de la main d’oeuvre, et les bras suisses ne peuvent suffire. Alors il faut importer des étrangers. Et même si la Suisse rendait un peu, cela ne se changera en rien les choses. Les dirigeants l’ont bien compris, et commencent à faire de petits gestes pour calmer tout le monde.

    2. Diane

      Et sans parler de paradis fiscal et d’évasion fiscale (chanteurs, tennismans, écrivains, footeux..etc) qu’en est-il de tous ces Suisses au pouvoir d’achat supérieur au notre et qui viennent s’approvisionner en France faisant exploser les prix aux dépends des Français, et l’immobilier, de sorte que Français nous ne pouvons plus acheter maison ou logement tellement l’envolée des prix leur est due. Leur richesse, volée ailleurs, nous retombe dessus !

    3. Berche Jean Marie

      Il ne vous aura pas échappé que Mr Mélenchon parle de la « situation fiscale » de la Suisse et partant du rapport à l’argent de ses dirigeants, politiciens, banquiers etc., et non de ses habitants. Ces gens là se comportent en prédateur pour ne pas dire plus, depuis bien trop longtemps. J’ai été frontalier avec le Luxembourg pendant prés de trente ans. La mentalité des responsables dans ce pays est la même me semble t-il. Si vous ajoutez à cela qu’il nous considèrent comme des moins que rien (doux euphémisme), alors oui il est temps de changer cette situation, au moins dans la perception que tout un chacun peut en avoir.

  13. M-J A.

    Le soutien à la liste « Catalunya en Comú » très bien, mais alors pourquoi avoir rejeté violemment « A Corsica in cummunu » (La Corse en commun) alors que cette liste portait seule les exigences sociales et écologiques des petites gens de Corse et se situait, seule, contre l’aventure autonomo-séparatiste (avec qui l’on sait aux manettes!) et le statu quo droite-Macron (pléonasme?) ? Difficile à suivre les positions contradictoires de J-L Mélenchon sur des sujets ayant beaucoup de points communs.

    1. Armando

      Je partage ce commentaire. J’ai moi même noté la démonstration laborieuse et sinueuse à propos de la Corse en passant par la Catalogne. Il serait bien que la FI dans son ensemble puisse débattre collectivement de ces questions et fixer l’orientation du mouvement.

  14. semons la concorde

    S’en prendre systématiquement aux journalistes d’Etat est une erreur, nous ne pouvons pas gagner sur ce terrain , ils ont trop de surface d’exposition, de répétition, de bourrage de crâne. Nous passerons au mieux pour des grognons au pire pour des revanchards agressifs. C’est très mauvais pour notre image. De plus en plus l’information passe par internet et là nous pouvons avoir une véritable influence : parler de l’avenir en commun sur Le Media, informer de ce qui passe sous les radars, entendre des intervenants pointus sur tous les sujets (l’expertise est dans le peuple, et nous pourrons lui donner la parole), voilà où je place mon espoir. Voilà un bout de temps que je ne regarde plus les chaînes d’info en continu, pas plus que France inter. J’ai pu découvrir plein de chaînes Youtube très instructives avec lesquelles il faudra coopérer. Vivement le 15 Janvier.

    1. Richard Ferri

      « journalistes d’Etat »
      Que faire contre leur férocité? Ne pas répondre, déserter le terrain ? Il me semble qu’il est préférable de faire face, les gens approuvent. Les réactions, y compris des journalistes (la pétoche?), suite au traquenard de Fr2 le montrent. D’accord pour mettre parallèlement le paquet sur internet et Le Media. Expliquer, informer, y compris concernant les attaques subies sur les médiats aux ordres. JL Mélenchon a eu raison de rappeler au cours d’un débat que « les gens détestent les politiques, mais encore plus les journalistes ». Il faut perturber leur surface, en y mettant le maximum de contradictions. Nous sommes nombreux maintenant, et notre présence sur leur surface rappelle notre existence. Nous ne sommes pas un alibi du système comme disent certains. Mais des impétrants avec la volonté de gouverner.

  15. marco polo

    Merci pour toutes ces informations qui n’apparaissent nulle part ailleurs qu’ici, La FI fait des petits parce que les peuples d’Europe veulent autre chose. À ceux qui nous accusent d’être des anti européens, nous leur répondons qu’une Europe populaire écologique et sociale est l’avenir, contre le libéralisme qui impose sa loi du pouvoir de la finance, de l’esclavage du capital. La preuve nous est donnée qu’en laissant le petit doigt à ces gens-là, ils nous prennent le bras entier !
    Bravo tous les insoumis !

  16. Caer

    « Dès lors autant être clair : le séparatisme ne peut rester l’apanage de la plus petite partie. La plus grande devrait aussi être autorisée à se prononcer sur son envie de continuer à faire République commune […] »
    La Cour suprême du Canada a une vision plus nuancée du problème de la sécession.
    Pour autant, « la Constitution n’est pas un carcan »… « Un vote qui aboutirait à une majorité claire au Québec en faveur de la sécession, en réponse à une question claire, conférerait au projet de sécession une légitimité démocratique que tous les autres participants à la Confédération auraient l’obligation de reconnaître. (…) « Les autres provinces et le gouvernement fédéral n’auraient aucune raison valable de nier au gouvernement du Québec le droit de chercher à réaliser la sécession, si une majorité claire de la population du Québec choisissait cette voie , tant et aussi longtemps que, dans cette poursuite, le Québec respecterait les droits des autres » (Yves Boisvert, La Presse, « Le « droit » de se séparer, du Québec à la Catalogne »)

  17. David

    Les analyses, la parole sont motivantes et donnent envie d’agir. Il y a du monde avec l’arme au pied, je vois une difficulté et les incompréhensions qui l’y maintienne. Les élections en corse sont révélatrices. C’est bien autre chose qu’il faut, l’addition des sigles d’organisations compromises mènent à l’échec. « Plus de tambouille », le concept et le mot sont superbes ! Alors comment ça marche ce mouvement les insoumis ? Il y a beaucoup à donner à voir et à expliquer encore sur ce point.

  18. HYBRIS

    Pour gouverner FI aura besoin d’alliés en Europe. La fondation de « Potere al popolo » en Italie est donc une bonne nouvelle. La tâche sera rude car il y a déjà un squatter dans la niche dégagiste. Le mouvement créé par Beppe Grillo (M5S) a capté la confiance d’une fraction notable du peuple. Il a rogné un peu à droite, mais surtout rallié une bonne part de la base sociale de la vieille gauche trahie par les siens et ravagée par les politiques austéritaires de l’UE. Une audience fondée sur quoi ? En vitrine, le cadre éthique imposé aux élus de M5S dans un pays taraudé par les passe-droits et la corruption des élites. Et aussi un programme patchwork, avec des points saillants : démocratie directe gérée sur la toile, mandats limités en durée, santé de base gratuite, choix écologiques forts, mariage pour tous, refus de l’immigration, refus de la dérégulation sociale, dépréciation des syndicats, sortie de l’euro, un fond économique libéral définanciarisé.

  19. M-J A.

    Élections en Catalogne : les 3 listes indépendantistes obtiennent presque 48% des voix de ceux qui sont allés voter (82% des inscrits) et 70 sièges sur 135 (la majorité absolue). Si je compte bien les listes non-indépendantistes ont donc un peu plus de 52% des voix et sont minoritaires en sièges. Cela signifie que la majorité des votants ne veut pas l’indépendance de la Catalogne et cette majorité anti-indépendance est encore plus forte si on calcule le % des voix indépendantistes par rapport au nombre d’électeurs inscrits. Moralité, le bilan d’une élection doit être fait en tenant compte de tous ces éléments, en particulier du rapport nombre de voix obtenues/nombre d’inscrits, le reste n’est que blablas de « journalistes » et de politiciens !

    1. Buonarroti

      La pandémie de Barcelone sous contrôle ou comment une neutralisation stratégique invite au fédéralisme : brexit, Corse, Ulster, Catalogne, Vénétie, Flandres etc. L’impériale intelligence des états unis d’Europe ne se déjuge comme en Yougoslavie, au pays Basque, en Lybie et autres que pour exterminer les options non compatibles. D’ailleurs, à l’issue des prochaines élections, le lobbying pan-européen légiférera une nouvelle strate coercitive interdisant le recours à certains droits régalien des états nations. Ainsi le citoyen qui s’y opposerait se placerait de facto hors la loi.
      Quant aux coups de menton à la polonaise, ils ne sont là que pour masquer, voire justifier cette institutionnalisation.

    2. gelmad

      Les résultats ne sont pas aussi simples à l’analyse ! La liste de Comu Podem (Podemos) fait 8 sièges et 7,45% et il est difficile, honnêteté intellectuelle oblige, de la mettre dans le camps des constitutionnalistes. Ils sont pour une 3è République, anti-monarchistes, donc modification radicale de la constitution de 1978 et pour un référendum d’autodétermination même s’ils ne souhaitent pas la sortie de la Catalogne de l’Espagne. Par ailleurs Ceux sont nos homologues en Espagne et ils ne s’allieront jamais avec un parti de droite ce qui ne gène nullement les 2 autres « blocs ». En fait une analyse plus fine signalerait la victoire claire de la droite à ces élections entre Ciutadans, Junts per Cataluna et PP

  20. PIETRON

    Il n’est pas nouveau de voir les médias s’acharner sur des propositions sérieuses de changement. Ce qui est nouveau c’est l’abondance de chaines d’infos et la constance des attaques. Cela confirme que les écoles de journalisme sont essentiellement des fabriques de crétins arc-boutés sur les privilèges que leur confère leur job devenu systémique. Car avant tout le capitalism est un système. Autant ce dernier ingurgite (via des ministères) aisément le gauchisme au sens trotskiste. Autant il pratique la déferlante guerrière contre les élans construits sur les causes, les effets, et la nécessité de définir une vision de la société en rupture avec le capitalisme (pas à la Mitterrand s’entend…). On en est pas là, mais il y a le pressenti via une révolution citoyenne qu’un premier pas sérieux pourrait être fait. Ceci explique cela. Il est d’ailleurs dommage que des partis révolutionnaires au sens marxiste-léniniste ne l’aient pas compris (ou ne…

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