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63 commentaires


  1. LAHMERI Michele

    C’est normal qu’il prenne une « taule » aux élections législatives. Il n’a été élu du par 26 % des voix des Français et à marche forcé car l’extrême droite était là. Néanmoins, le nombre de votants au 2eme tour était de moins 50 %. Ce président ne sait que forcer la société française par des ordonnances, niant ainsi le peu de démocratie qu’il nous reste. Même les médias sont à sa botte. Mais, après tous les coups fumants qu’il nous a infligé, il sait que la France est en danger. Le prix de l’emprunt monte et la crise financière mondiale annoncée il y a près de 3 ans pointe son nez pour 2018. Les français n’ont pas compris qu’un financier à la tête du pays ne pouvait qu’aider les plus riches à s’enrichir et les plus pauvres aller jusqu’à la misère. Cela ne les dérange pas. C’est à nous de donner l’exemple à l’Europe et aux Français en faisant l’unité de la gauche dans un programme qui est le notre : l’Avenir En Commun, la 6me République et une autre Europe.

    1. jyves

      Il est important de puiser les informations en dehors de « la médiacratie ». La lecture notamment des études du prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, ex-économiste en chef de la banque mondiale sont édifiantes. Les politiques libérales dérégulées et le creusement des inégalités par le renoncement des rôles de l’Etat au profit du privé, conduisent aux crises dont le peuple malheureusement doit règler la note. Les solutions existent et correspondent beaucoup aux propositions de la FI, ce n’est donc pas de l’utopie mais bien une question de volonté politique. Vous remarquerez qu’on nous assène, pour justifier la politique actuelle, le mot « réformes » voulues d’ailleurs par les Français, mais jamais le mot de progrès (incluant par là l’humain et le partage) seule voie possible à la croissance globale de la société. Les intérêts privés uniquement financiers dans la globalisation seront sans merci. Je ne suis pas très optimiste quant à la prise de conscience des citoyens.

  2. semons la concorde

    Le bon sens populaire semble avoir déserté nos concitoyens. Le lavage de cerveaux opéré par les media a réussi au-delà de leurs espérances et l’histoire du décodage des fake news s’apprête à en remettre une couche. Il est vital de faire vivre les lieux de débats. Le media permet une information non faussée et sociale, c’est formidable. Mais si on veut que le peuple s’implique en politique, il faut lui donner la parole pour de vrai. L’atelier des lois est une formidable initiative que je suivrai. Mais pourquoi ne pourrions-nous que suivre ? Investissons collectivement dans le matériel et les logiciels qui permettront d’entendre tout le monde et de construire un consensus populaire. La politique est l’affaire de tous.

    1. jnsp

      « Le media permet une information non faussée et sociale, c’est formidable. »
      Vraiment ? Je ne dirais pas ça, en particulier pour les débats qui présentent toujours, pour ce que j’en ai vu, des journalistes en accord quasi complet avec la personne qu’ils interviewent dans la connivence la plus totale. C’est une erreur, refuser de donner la parole à une autre vision des choses est le signe de la peur d’être contredit. De cette peur, rien de positif ne peut naître ni aucune adhésion avoir lieu si ce n’est celle des déjà convaincus. Jean-Luc est invité par les média dominants il ne faut pas être plus sectaire qu’eux.

    2. sergio

      @jnsp
      Non, le mediatv.fr n’est pas si lisse et monolithique que cela. L’émission d’Aude Lancelin « Le monde libre » par exemple permet à des points de vue antagonistes de s’exprimer sur cette notion et « mantra » libérale du management. François Begaudeau est presque le seul face aux trois autres invités à remettre en question le principe d’un « management humain » car celui-ci ferait alors croire qu’il n’est plus soumis à la loi de la rentabilité et de la compétitivité. Une bonne partie des journalistes de ce média sinon ne se réfèrent absolument pas au logiciel politique si j’ose dire de la FI mais ils abordent enfin (!) des questions jugées tabou par Bouygues, France 2 ou BFM. Ils invitent des experts indépendants, des militants de tout ordre et expliquent des mécanismes économiques et des faits sociaux ou culturels jusque-là jugés par les médias aux ordres « trop techniques » ou sans intérêt.

  3. Devillerc

    On a bien compris que l’on est sous un régime de dictature ! Mais relayer le lien pour donner à la quête et abonder à la perte de salaire, suite à une grève des gardiens de prisons, ça aurait eu de la gueule.

  4. Jean-Yves

    Il est exact que les mesures de Macron et de ses clones de LREM sont en train de provoquer leur rejet à vitesse grand V. Le résultat des partielles le démontre à l’envie la défaite des « macronistes » et une très forte abstention (70 à 80%). Malheureusement la colère d’une (toute petite) partie du peuple s’est traduite par l’envoi à l’assemblée Nationale de deux députés LR supplémentaires !
    Où sont passés les électeurs de Jean-Luc Mélenchon d’avril dernier ? Pourquoi La France Insoumise n’arrive pas à les garder avec elle ? Les déclarations intempestives sur la « tambouille » auraient-elles coupé l’appétit de ces gens de gauche séduits le 23 avril 2017 ? Cela mérite un débat de fond pour trouver enfin la bonne stratégie et non se contenter de dénigrer les autres et de louer le « dégagisme » sans aucune assurance sur sa destination finale.

    1. FAYOLLE

      Ou sont passés les électeurs de JLM2017 ? Ce qu’il a dit, proposé à l’époque concernant l’arrivée du macronisme, se réalise brutalement, y compris sur les électeurs de Jean-Luc Mélenchon. Nous ne sommes plus dans les Présidentielles. C’est la lutte. Chacun hésite à s’y engager de peur d’être seul (voir les gardiens de prison). Cependant des actions se mettent en route, mais invisibles sur le terrain car les médiats refusent LFI. A Paris, nos députés font tout ce qu’il faut, mais sur le terrain, circulez, il n’y a rien à voir et dénigrement.
      Pour avancer, 3 propositions. Donnez-nous les coordonnées des députés LFI qui suivent les gros dossiers sur le terrain (ex. suppression de classe, Hôpitaux/Ehpad/Santé, etc.)
      Sur le tas, pour engager des actions, il faut des sous. Comment on fait, sinon la « débrouille » ?
      Inciter les Points d’Action certifiés à se coordonner dans une association officiel, sur un cercle géographique humain, pour exister.

    2. Herner

      @Jean-Yves.
      La réponse à ces questions ne se trouve certainement pas du côté des héritiers désespérés de la Place du Cl Fabien. Elle est toute simple : la lassitude des électeurs qui sortent d’une année d’élections dures et qui veulent souffler un peu. Mais il faut être de mauvaise foi pour ne pas voir toutes les avancées de LFI. Les résultats positifs du travail de fond qui se fait, témoignent de la justesse de la ligne interdisant la moindre « tambouille ». « C’est en trouvant tous ensemble la réponse ». Mais les Insoumis avancent ensemble, en innovant sur beaucoup de terrains. Ou bien y-a-t-il un autre ensemble ? Qui est-il donc ? Le désespoir obstrue tout accès à la lucidité. Et la « tambouille » est la « faiblesse qui vous perdra ».

    3. Jean-Yves

      @herner
      « La « tambouille » est la « faiblesse qui vous perdra » »
      Belle formule certes mais qui ne change pas le réel. Pensez-vous que les électeurs populaires conscient feront longtemps confiance aveuglément à un « guide » même proclamé « Insoumis », qui se réclame toujours de François Mitterrand (ami des patrons, fossoyeur du PCF, chantre de l’UE et père de l’austérité de gauche lors du tournant de 1983) ? Attention la suffisance dont font preuve de nombreux Insoumis rebute de plus en plus ceux qui s’interrogent de bonne foi sur la validité de la stratégie dite dégagiste de Jean-Luc Mélenchon, il suffit de regarder les résultats en voix des candidats LFI et le nombre d’abstentionnistes depuis juin 2017. Réfléchissons bien pour savoir si, à la fin, la dénonciation de la « tambouille » (ne) sera (pas) « la faiblesse qui perdra » LFI et Jean-Luc Mélenchon !

    4. Nicks

      @Jean-Yves

      Nous sommes nombreux à ne plus vouloir de quelconques alliances électoralistes. La responsabilité finira bien par l’emporter sur les logiques d’appareils irresponsables. Il faut savoir ce qu’on veut : faire gagner des idées en les privilégiant ou maintenir en respiration artificielle des boutiques surannées et impuissantes, au risque de voir gagner ses pires adversaires. Le choix devrait être facile quand on se déclare progresssite pourtant…

    5. patrice 30

      @Nicks
      Nous sommes tout aussi nombreux à dire et à penser que vouloir avoir raison tout seul est une stratégie perdante qui n’amène rien. Cela ne veut pas dire qu’il faut s’allier avec tout le monde. Au cas par cas pourrait être une solution. Quant à ceux qui pense que le FN est mort et que youpie on est devant eux je les invite à aller dans le Sud profond et ils verront la réalité que l’on subit depuis des années. Car depuis des années nous avons le choix au second tour entre un FN et un « droite dure ». Je pense qu’il ne faut pas prendre ses désirs pour des réalités même si je souhaite l’élection de nombreux députés FI. La vague dégagiste nous atteint nous aussi par l’abstention. Nous sommes mis dans le même sac que les autres.

  5. Christophe PEBARTHE

    Je regrette que le mouvement qui nait dans les universités soit présenté, ici comme ailleurs, comme un mouvement étudiant. Il y a des syndicats d’universitaires, il y a des enseignant.e.s du supérieur, qui font ce qu’ils et elles peuvent. Ces organisations ont droit au moins de cité. Cet oubli, qui n’est ici même pas du mépris, en dit long sur la conception de l’Université. Cette institution fut pourtant au début du XXème siècle pleinement considérée comme républicaine. L’émancipation de la personne humaine ne saurait faire l’économie des conditions qui la rendent possibles, conditions matérielles certes mais aussi institutionnelles.

  6. marco polo

    L’action va-t-elle prendre dans la plaine ? La jeunesse en sera le moteur. Pas d’ordre ni consigne, si ce n’est ceci : n’attendez pas de consignes. Forcer le gouvernement à faire marche arrière, bousculer tous les immobilismes et les attentismes pour aller vers les changements indispensables. La prise de conscience se fait aussi en ouvrant les yeux.

  7. Borie Didier

    Ne prendrait-il pas plutôt une « tôle » qu’une « taule » cher Jean-Luc ? La « taule » ce sera peut-être un jour ? Qui sait ? Amitiés insoumises.

    1. Francis

      Je pense que « se prendre une taule » est la bonne expression.

  8. Jézéquel

    « Se prendre une taule » est en effet la bonne expression ! le mot « taule » qui veut dire dans cette expression « une raclée », vient du mot « tôle » qui veut dire le « produit de laminage », connu dans la sidérurgie. Se faire laminer ou prendre une raclée c’est la même chose. Le mot « taule » permettant de faire la différence spécifique avec le mot « tôle » !

  9. Deeplo

    Merci encore une fois pour cette belle lettre dont le ton est apaisé et déterminé. Effectivement, les actions de contestations s’accumulent et le résultat des partielles montre que le bon sens revient. La lassitude et la sidération laissent place peu à peu à la colère qui se transformera en actions spontanées, loin des calculs opportunistes et des tambouilles. Surtout ne pas donner le sentiment que nous pourrions passer des accords avec le PS de Valls, le PC qui vote avec le PS en Occitanie et refuse notre programme, ou Hamon qui compte changer l’Europe avec Varoufakis. Je quitterais le mouvement immédiatement n’ayant jamais eu de carte nulle part. Surtout rester dignes et honnêtes intellectuellement, forts de notre avenir en commun. La semaine prochaine sera celle de la contestation qui monte !

  10. josiane Coiffard

    A propos de « déroute psychologique » je ne suis pas sûre que la comparaison avec l’Angleterre de Thatcher soit inutile. Et si je vous rejoins (comme presque toujours, d’ailleurs) pour compter sur la fonction publique, elle m’apparaît fragilisée par des années de corruption de la notion même d’intérêt général. Il se pourrait bien qu’elle devienne la lame de fond par laquelle la présence de l’Etat sur les territoires va être engloutie. le déclin du service public y a été programmé par les lois qui ont prétendu le moderniser et la disparition ou la privatisation de services de proximité se produit parallèlement à l’émergence de monstres de technocratie (à l’image de ce qui gouverne l’Europe) que sont les métropoles. Leur agents sont déjà contractuels, recrutés sur leur adhésion, déjà managés à la performance, se rêvent « tradeurs ». Puissè-je me tromper, avez vous une idée de ce qu’en pensent vos amis (qui ne sont plus les miens), élus à la ville de…

  11. kokkino

    Le sondage commandé par la FI donne de mon point de vue deux indications fortes : sur le CETA il montre que malgré les nombreuses interventions de Jean-Luc Mélenchon la compréhension du problème dans nos rangs est loin de ce à quoi l’on pourrait s’attendre et l’on peut se demander si il n’en va pas de même de questions de même nature (Euro, OTAN). C’est la maturité politique du mouvement qui est en cause. Plus politique encore : la proportion de sympathisants hostiles au récépissé dans la question du contrôle au faciès est-elle d’origine purement technique ou d’une autre nature plus préoccupante ? Par contre le niveau des réponses positives toutes sensibilités politiques sur la question de l’eau montre qu’il y a une vraie capacité de mobilisation pour la FI sur la question des services publics et une opportunité au moment où se prépare la grande casse de la fonction publique et se met en œuvre la sélection à l’Université.

  12. JeanLuc

    Le thème de l’égalité des chances à l’école m’a rappelé la conférence gesticulée de Franck Lepage sur l’éducation populaire où il dit « l’égalité des chances pour le lièvre et la tortue, c’est que la ligne d’arrivée est la même ». Je ne résiste pas au plaisir de redonner le lien tellement c’est bon !

  13. Patrice COQUELIN

    Normal, Macron n’est qu’un pion des banques, un ex-ministre de l’Economie à qui tout le monde avait davantage de raisons de jeter des cailloux qu’à Gros Mou, avec un programme politique vide, absent. Il aura suffi à certains de s’acoquiner avec les directeurs de médias, pour que Le Pen fasse un joli score, et il n’a pas été nécessaire de rassembler plus que 13% de centristes et 10% de couillons pour que cet individu devienne Président de la République française. Ca paraît magique, la politique, dans ce pays, déjà, quand on réalise ça. Et pourtant, Macron représente bien une sorte de révolution politique. Car pourquoi s’embêter à soudoyer régulièrement des politocards, pourquoi s’enquiquiner à soudoyer à répétition des technocrates quand on peut placer un pion à soi tout en haut ? Des décennies que certains en rêvaient, ici. C’est fait !

  14. pascal lacues

    Construisez une alternance crédible avec le rapport de force en adoptant l’unité de ce qui est commun aux humanistes et une stratégie transparente et un projet précis car comment changer leur logique destructrice si vous n’avez pas la force ni le courage ? Ou alors vous ne le voulez pas ou ce n’est pas possible.

    1. Robin Lebon

      « L’unité de ce qui est commun aux humanistes » revient généralement à diluer le contenu de son programme politique. Non, ce qu’il faut, c’est de la fermeté quant à la ligne défendue et dans les convictions. Diluer le programme avec les humanistes (lesquels? les LREM se disent humanistes…), c’est opportuniste et la preuve d’un manque de conviction flagrant.

    2. Jean Paul B.

      @Robin Lebon
      Les « humanistes » sont ceux qui placent l’humain au coeur de leur action,cela signifie qu’il s’agit d’unir tous ces républicains anti-libéraux et éco-socialistes sur un programme commun pour se donner plus de chances d’être élus afin d’améliorer rapidement la vie du plus grand nombre. Les auto-proclamés « purs » (comme les gauchistes naguère) qui ont peur de « diluer le programme » et pensent y arriver seuls, se trompent lourdement. Pendant qu’ils perdent leur énergie à pinailler, le grand capital rit de voir les classes populaires, stérilisées par ces divisions, être condamnées à ne pas accéder au pouvoir. Drôles de révolutionnaires que ces gens là !

  15. Olivier SERVANT

    Sur nos chers médias appartenant aux plus gros des plus gros, les seules exaspérations qui nous ont été proposées sont celles des automobilistes qui vilipendent la neige qui tombe et le niveau des rivières qui ne baisse pas assez vite. Dans notre France rurale, comment serions nous solidaires de ces gens qui sont tellement loin de la vie que nous vivons ? Voilà, la solidarité en prend encore un coup. Et puis qui parlera dans ces médias de la privatisation de la censure et de la justice au profit de l’argent. Un journaliste, un éditeur, un organe de presse pourra donc être condamné si son travail de vérité porte atteinte aux intérêts d’une entreprise. Qui parle de la privatisation du régalien ? Police, prisons, armée on peut tout vendre. On nous explique que le prix des autoroutes, c’est un contrat, on y peu rien ! Quelle est la volonté politique ? L’Europe, quel beau masque! De Gaulle avait fait usage de la chaise vide et, c’est curieux, la France avait été entendue. Paraît qu’on…

  16. Yves Thiébaut

    Il faut pousser le raisonnement au bout. Maîtriser le scandaleux mal- ou non-logement, c’est maîtriser les prix du foncier, forcément ! Donc ne plus laisser le marché immobilier dans une liberté sauvage. Donc toucher et maîtriser la partie immobilière de la finance ! C’est tout à fait possible, mais dans un cadre politique complet comme le programme de l’Avenir en Commun de LFI, qui a une cohérence, et qui aurait, nous l’espérons tellement, été approuvé par le peuple français.

  17. MP Langeais 37

    « Niche parlementaire »?
    Le terme prête à s’interroger comme à sourire. Ridicule à bien des égards. Qui était ce jour à la niche sinon ces députés macronisés inconséquents et à la ramasse. Je préfèrerais l’expression de créneau ou de fenêtre. Et ce 1er février, la fenêtre était grande ouverte par nos députés FI. Un grand souffle d’air, à noter dans les annales de l’AN et de la FI et qui ne peut que laisser des traces. Merci encore pour ces propositions de loi (sur la dignité humaine) que vous avez (tous) avec talent et pugnacité défendues.
    Ah, au fait, « Parcours sup » : une machine à faire le tri social (des élites).

  18. Phil

    @jnsp
    Le média fait un travail de grande qualité à mon avis, présentant ou parlant de sujets que l’on entend ou ne voit pas ailleurs et avec un parti-pris revendiqué du côté opposé de la pensée officielle. Cela fait un bien fou de suivre leurs journaux. Je te conseille de voir ou d’écouter l’émission d’il y a quelques jours qui s’appelle « le monde libre » tu pourras juger de l’intérêt de discuter d’un sujet sans être d’accord entre les débatteurs. Je pose le lien ici.
    Merci pour ce billet toujours aussi intéressant M. Mélenchon!

  19. Marron

    Pas sur que le titre agressif sert le propos par ailleurs excellent. Difficile de partager un contenu aussi brillant sur les réseaux lorsque le titre sera perçu comme une agression par ceux qui n’ont pas encore d’avis tranche sur Macron. L’humour serait plus efficace.

    1. Robin Lebon

      J’en doute fortement. Ceux qui n’auraient pas déjà un avis tranché sur Macron sont désintéressés de la politique ou ne sont pas concernés par les mesures et lois de ces derniers mois. Il faut cependant aller chercher la jeunesse et ceux qui veulent un changement radical mais qui s’abstiennent ou votent à droite juste pour les grandes gueules que sont Wauquiez et Le Pen.

    2. Le Che

      @Robin
      Il est effectivement temps de remplacer les grandes gueules de droite par des grandes gueules de gauche. Voilà un objectif ambitieux qui ne laissera pas de mobiliser les gens.

  20. Politicoboy

    La volonté d’en finir avec la fonction publique s’inscrit dans la lutte des classes décrites par Bernard Friot dans son ouvrage « vaincre Macron ». Il s’agit de remettre en cause le salaire à vie et l’exclusion du marché d’une sphère de l’économie qui emploie 5,5 millions de personnes. Le but n’est pas de rendre la fonction publique plus efficace ou moins chère, mais de transférer cette manne financière qui échappe au capital dans la sphère privé. Protéger la fonction publique et l’étendre est un combat central pour « vaincre Macron et son monde ».

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