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69 commentaires


  1. patrice 30

    Jean Luc a raison : « Le mouvement social est là ». Seul le petit marquis Macron ne veut pas le voir. Pourtant il réussit l’exploit en même temps de faire des cadeaux aux plus riches et de surtaxer les plus pauvres. Que va t il se passer ? Les mouvements de violence seront exploités à NDDL ou ailleurs. Les imbéciles heureux qui cassent des vitrines à Nantes ou ailleurs nous font beaucoup de mal. Ces crétins commettent des délits mais que fait la police ? Son rôle n’est il pas de combattre tout désordre ? Cette situation fait le miel du FN qui ne nous trompons pas est très fort et que chaque attentat renforce. Les médias parisiens préfèrent parler du mauvais débat de Marine Le Pen face à Jupiter mais à mon avis la force de nuisance du FN est toujours là et eux « la loi et l’ordre » ils connaissent.

    1. emile

      Permettez que j’exprime un désaccord : il ne nous appartient pas de « condamner » les casseurs de vitrine de banque, les lanceurs de cocktails Molotov à NDDL, syndicalistes « séquestrateurs » ou arracheurs de chemises, et autres brûleurs de Macron en carton ou de poubelles en banlieue. Ce sont nos alliés objectifs, nous avons un ennemis commun, même s’il est naturel de se distinguer de ces moyens d’action quand ils ne sont pas les notres. Oui les mots on un sens, et nous ne devrions pas céder à l’injonction de condamner ses actes. Le faire, c’est focaliser sur cette violence visible et accepter de détourner le regard de la violence de classe qui sévit toutes l’année, et pas seulement dans ces périodes de luttes sociales. Non, nous ne devrions pas accepter de condamner, et nous devrions simplement et naturellement regretter ces actes d’un peuple a bout qui utilise les moyens du bord pour se faire entendre, voire souvent seulement pour se débattre d’un pouvoir qui…

    2. Nicks

      Je fais partie de ceux qui condamnent ces actes de vandalisme qui ne sont pas le fait de gens poussés à bout, mais de personnes extrêmement politisées et conscientes de leurs actes, de celles qui font en sorte que la convergence des luttes ne puisse pas se réaliser par un sectarisme aveugle contre tout ce qui relève de l’institution. Ils sont à distinguer fortement des syndicalistes, des zadistes agressés, des grévistes et des occupants des facs, qui eux sont dans la légitime défense. Mais détruire des vitrines de commerçants dans une manif, c’est absurde. Ils nous desservent énormément en pratiquant de la sorte, il faut quand même le dire.

    3. PG

      Il reste a connaitre la véritable identité des casseurs que la police laisse faire sans sourcilier. Il a déjà été constater à plusieurs reprises dans des manifestations que ces derniers étaient protégés par nos forces de l’ordre et que sous leurs masque ils s’y trouvaient des forces de l’ordre cagoulées. Ce qui permet de comprendre que ces dernières ne bougent pas pour arrêter les casseurs.

    4. Vega

      Arrêtez de culpabiliser les étudiants et leur pseudo violence. Je ne connais à date qu’une seule violence, elle vient de Macron, de certains préfets et recteurs qui n’hésitent pas à envoyer des policiers dans les facs sans raison ou de permettre la présence de cagoulés armés de bâton pour frapper les étudiants en assemblée. Ce sont aussi des éléments d’extrême droite qui font violence, menaçant de morts nos députés et organisant la casse dans les manifestations pour les discréditer. Nous avons entendu toutes sortes d’insultes à l’endroit des jeunes : chiens (Marine Le Pen), prostitués, drogués (la médiocratie), etc. Le gouvernement de son côté nous traite tantôt de rien, tantôt de fainéants privilégiés, malgré des salaires de misère qu’il veut baisser encore plus pour les travailleurs afin de renflouer les riches. De quel côté est la violence, dites-le moi ?

    5. Nicks

      Il ne s’agit pas d’excuser la violence du gouvernement, il ne s’agit pas de nier les origines plus que diverses des casseurs, mais chacun sait ici que des mouvances plaident la destruction dans le cadre de la lutte anti-système. Je répète que je ne la cautionne pas et qu’elle est à mon sens très contre-productive.

    6. cultive ton jardin

      Ne recommençons pas avec la stigmatisation des « casseurs » qui nous a fait tant de tort en mai 68. À NDDL, les plus légalistes ont donné l’exemple en refusant cette dissociation qu’on exigeait d’eux. Traiter ces manfestants d’imbéciles heureux, de crétins, et en plus regretter que la police ne les combatte pas voire carrément les accuser d’en faire partie se retourne toujours contre le mouvement. Quand nous en avons désavoués certains, « ils » nous somment d’en désavouer d’autres. Et ça n’a pas de fin.

  2. Pierre

    L’interview mediatico-offensive de Macron que je n’ai pas regardée (et pour cause 2h30 de durée) est pour le quidam que je suis un nuage qui m’est passé par dessus la tête. A t il réussi à embrouiller l’opinion publique ? Plus que jamais, comme vous l’aviez dit, la com qui vaincra est celle sur le terrain, celle des hommes et femmes de bonne volonté.

  3. christiane 60

    Malgré des questions précises, les réponses sont toujours les mêmes, il s’agit plus de postures que d’explications mais peut on s’en étonner ? Peut-être simplement que cela a pu contribuer à ouvrir les yeux de quelques naïfs qui croyaient encore que le président est en partie à gauche ? Ce serait déjà pas mal. En ce qui concerne Lisbonne, c’est un bel espoir mais où sont passés les Grecs de Zoé Kostantopoulos ? N’y avaient ils pas leur place ? ils sont bien l’Europe du sud. Et ce néo parti italien que vous avez rencontré à Naples ? Bien que encore « sous les radars », sa présence auprès de ses « aînés » lui aurait peut-être donné une première visibilité ? Il est vrai que vous étiez invités par nos amis portugais, mais est ce une possible piste de travail pour la suite ? On aspire tant à de telles convergences.

  4. Christian Deudon

    Lu et approuvé. J’ajouterais que l’image simpliste du premier de cordée est le fruit d’un cerveau compliqué. Le simple serait de dire pour reprendre l’image que la corde ou le cordon ombilical a déjà été rompue par le fait même de la politique libérale menée à tout va dans toute l’Europe. Seule la conscience réelle peut en chacun de nous être première de cordée, pour le reste, les privilèges ne grimpent plus mais siègent dans leur fauteuil en haut de leur Olympe où ils sont arrivés dans les ascenseurs de la finance et de l’illégalité. Ils attendent que nous grimpions à pieds sous les charges lourdes des cadeaux qu’ils se font et que les plus méritants leur apportent grâce aux ânes qui les déchargent du lourd fardeau. Le simplisme épouse le compliqué quand le simple répond au complexe. Alors que le peuple oublie les fastes et les révérences pour servir le maître et reprenne la référence de lui-même comme preuve du seul bon sens.

  5. lucien

    Nous défendons les services publics, nous sommes pour les développer et améliorer leur fonctionnement. C’est sur cet axe que la FI doit s’orienter, c’est à l’opposé de ce que dit Macron qui considère qu’il n’y aucun lien entre le mouvement des cheminots, celui des hospitaliers et celui des postiers par exemple. La FI donne cette interprétation car elle correspond à la situation et à l’état d’esprit de tous ceux s’engagent, elle contribue ainsi à fédérer toutes ces luttes.
    Nous devons contribuer à faire sauter le verrou de la division syndicale et celui qui voudrait opposer le mouvement politique et le mouvement syndical même si cette opposition n’est plus aussi prégnante localement qu’en septembre. La FI pose ses jalons en s’impliquant dans chacun de ces mouvements, elle en recueillera les fruits si elle se distingue par sa disponibilité et son refus de vouloir en prendre la direction.

  6. PIETRON

    Un « manifeste » est par définition le fait de déterminer une position commune. Sans couper les cheveux en quatre, il est étrange que le terme « capitaliste » n’y apparaisse pas (UE capitaliste par exemple). Cela permet de se démarquer de souverainistes de droite qui, finalement, pourraient invoquer la majeure partie du texte.
    Cela dit, je partage le constat Podémos (issue des « indignés », rien à voir avec le Podémos d’aujourd’hui). Podémos a été ingurgité par l’appareil systémique espagnol. Il est pro européen. Il participe de décisions espagnoles intérieures et extérieures pas toujours (voire pas du tout) en phase avec ce qu’en attendaient les indignés et les couches populaires. Leur insoumission a fait long feu avec l’accès à certaines sphères de pouvoir. Mais bon, l’essentiel est que la France insoumise garde le cap contre cette Europe capitaliste néolibérale. Et se réserve la possibilité d’un Frexit fort possible compte tenu de son…

  7. emile

    Je salut l’initiative mais je m’inquiète de l’association a Podemos, qui n’a montré aucune résolution à combattre l’UE autrement que verbalement, à la Hamon si vous me permettez ce rapprochement. Rassurez moi donc. Ils ont clarifiés les choses en souscrivant au principe du Plan A / Plan B ?

  8. educpop

    Le fait qu’il n’y ait pas de commentaires à propos de ce qui s’est passé à Marseille samedi dernier est compréhensible en ce qui concerne le système médiatique, mais moins en ce qui concerne notre mouvement. Cette marche unitaire a-t-elle fait la démonstration recherchée ou bien n’est-ce qu’un banal épisode dans l’histoire des manifs ?

  9. Alain Doumenjou

    @Emile
    « …je m’inquiète de l’association a Podemos, qui n’a montré aucune résolution à combattre l’UE autrement que verbalement… »
    Je partage la même inquiétude et me pose la même question. Sur l’UE, la position actuelle de Podemos est essentiellement la même que celle de Hamon et persiste dans le leurre selon lequel on pourrait obtenir un changement fondamental de l’orientation capitaliste et ultra libérale de l’UE. Même si la France, qui n’est pas la Grèce, dispose des atouts d’un rapport de force autrement plus difficile pour les tenants de l’ordolibéralisme imposé d’une main de fer par l’Allemagne, croire à une victoire du plan A qui changerait radicalement les choses me parait relever de l’illusion, tout comme un plan B qui consisterait à « désobéir aux traités » sans quitter l’UE.

    1. kokkino

      Il me semble que vous interprétez mal le programme de la FI concernant l’Europe. Celui-ci comporte 3 étapes (P.79 à 86). Des mesures immédiates unilatérales visant à sauvegarder l’indépendance nationale et à permettre l’application du programme. Plan A : sortie concertée des traités européens et référendum si résultat « satisfaisant ». Plan B si échec des négociations : sortie de l’UE avec les pays qui le souhaitent.
      Les 6 mesures immédiates constituent déjà une sortie importante des traités tout en créant un rapport de force favorable dès avant la négociation. Dans ces 6 mesures il y a déjà le contrôle des capitaux indispensable à la réussite du plan B. A ce stade la seule question en suspens est la durée des négociations qui doit être courte (3 mois maximum) pour la réussite du plan d’ensemble.

  10. Pantigny Sylviane

    Que de bonnes raisons d’espérer ! D’abord cette marche du 14 à Marseille, un vrai succès, un vrai bonheur d’être avec tous ces gens, syndicalistes, insoumis, les deux aussi certainement, les communistes, tous en marche pour dire haut et fort que ça ne va pas durer longtemps encore. Macron devrait avoir peur, mais du haut de son piédestal, que pourrait-il encore bien voir ? Il est si loin du peuple, si loin des souffrances des gens, tout occupé de son rôle comme un mauvais comédien qui déclame sans souci de jouer avec ses camarades sur le plateau, et pérore et donne des leçons. Ce petit monsieur risque de chuter et de haut encore et cela fera mal. Donc, oui, cette formidable, magnifique marche sous le ciel marseillais et maintenant, depuis le 12, la création de « Maintenant le peuple » avec Podemos et Bloco de esquerda du Portugal. C’est formidable et tellement porteur d’espérance, c’est beaucoup d’émotion et de reconnaissance aussi à ceux qui ont œuvré sans relâche. Merci.

  11. Redon

    On se retrouve avec une force privée, publique, jeunes, retraités, hospitalière et j’en passe. On est en droit d’être optimioste si les convergences sont bien menées. Macron en est conscient et tire de tout bord pour mélanger les cartes. A nous syndiqués et politiques de ne pas tomber dans le piège. Si vous avez écouté Macron à Strasbourg, il se positionne déjà comme le patron de l’Europe, Merkel étant vieille et affaiblit. La banque va-t-elle emporter la direction des États européens ?

  12. teres

    Pour ma part, rien de neuf ! Syndiqués nous avons toujours été présents et actifs à nos problèmes, avec l’appui des politiques de gauche évidement. La dictature seule de Macron a déclenchée ces mouvements catégoriels qui vivaient en catimini dans toutes les professions. Que la FI nous rejoigne, tant mieux. La division unitaire on la connait et on sait qu’elle pue le PS, ces traitres déguisés en frères et ils continuent sous d’autres formes.

  13. Denis F

    En 1958, un monsieur a créé et raconté une histoire aux gens qui habitaient la France. Cette belle histoire porte le titre de « Constitution de la 5éme République ». Ce monsieur a été cru parce qu’il était considéré comme le sauveur de la France. Aujourd’hui, les gens que l’on nomme à tort le peuple, croient toujours à cette histoire. Or c’est un mensonge, une vue de l’esprit, car les 4 premiers articles de cette belle histoire sont une tromperie, ils disent de belles choses comme « peuple souverain » ou « égalité de tous devant la loi » ou encore parle de « démocratie », mais tout cela est faux, car cela ne fut jamais appliqué, et cela ne le sera jamais ! Ce n’est qu’un énorme mensonge.
    Ce grand monsieur savait lui que c’était faux, car il savait que le peuple ne voulait pas s’appeler le peuple. Il savait aussi que ces gens ne voulaient pas prendre la responsabilité qui revient au peuple, c’est pour cela qu’il appelait ces gens « des veaux », comme il avait raison, et…

  14. gautier 974

    Avant le 5 mai, il y a le 1er mai.

  15. Alain Valbert

    Peut-on dire qu’en Syrie le premier de cordée a pratiqué l’escalade ? Mais avec de si grosses ficelles, ça ne tiendra pas !

  16. Siamy

    Merci pour vos explications concernant l’intervention militaire en Syrie. En fait, dans cette folie, ce qui est édifiant, c’est qu’à part le gaspillage d’une partie de nos impôts, la démonstration de la possibilité d’agissements totalement illégaux en toute impunité, et la mise en évidence (s’il en fallait) que nous ne sommes pas en démocratie, il ne s’est rien passé. De quoi être de plus en plus inquiets, devant le monarque que les Français se sont donnés.

  17. Vega

    L’agissement de certains groupes d’extrémistes est très inquiétant. La dernière agression sur Eric Coquerel est inadmissible et j’espère qu’il y aura poursuite judiciaire ferme. Plus qu’une lettre à monsieur Rugy qui ne semble pas préoccupé par vos derniers rappels sur la question, car où sont les débuts d’enquête sur les menaces de mort à l’endroit de membres de la FI ? Nous devons exiger aussi qu’une enquête soit faite sur l’Action Française, groupe qui présente des signes de renouveau de violence notoire. Dans ce gouvernement, on s’inquiète plus des occupations légitimes des étudiants (quitte à mettre en danger la vie d’un d’entre eux) que de certains groupes qui agissent par agressions successives sur les personnes en toute impunité.

  18. oxy

    Où est la vérité ? En effet après l’intervention des forces de l’ordre pour évacuer Tolbiac, la préfecture se félicite que cette évacuation se soit fait dans le calme, et par ailleurs je crois que le président de l’université à quant à lui souligné le professionnalisme des forces de l’ordre puisqu’il n’y aurait aucun blessé à déplorer (?). D’après les étudiants(tes) présents et ayant subit l’intervention ce ne ce serait pas passé aussi « sereinement » qu’on veut bien nous le faire croire et les médias (en boucle et aux ordres) avec. Il y aurait un étudiant gravement blessé et dans le coma et bien d’autres blessés « grâce » aux coups de matraque et gaz lacrymogène. Alors qui dit vrai ?

    1. Agnès KIM

      Si on pouvait avoir des témoignages ce serait le mieux. En tout cas je suis sidérée que les forces de police aient pu passer la porte de l’université. Ce sont nos enfants qui sont là. J’ai vécu en Corée du Sud lors de la résistance des étudiants contre la dictature, les forces armées ne passaient pas la porte des universités. Il me semble que ce gouvernement est en train de légitimer des interventions qui pourraient être bien plus violentes encore, ici ou ailleurs. De plus ces interventions se font suite à la demande des présidents d’université, ce qui, quelque part, blanchit le gouvernement. Je trouve ces phénomènes très inquiétant pour notre société. Pour moi, entrer à l’université était un droit, comme celui d’entrer à l’école maternelle, après avoir eu le bac. Droit à l’éducation.

  19. Jean Louis

    Où je vois que toute alliance ou rapprochement avec le PS ou même Hamon est impossible de mon point de vue quand ces deux là soutiennent Macron dans sa décision d’intervention en Syrie, qui est un des points fondamentaux qui qualifie leur vision de la politique internationale et de la place de la France dans le concert des nations. Pas besoin de parler de leur vision de l’UE.

  20. morfin

    Le renouveau des forces royalistes anti-républicaines n’est pas étonnant comme l’éloge de Maurras, comment éviter cela alors que la droite dite républicaine reprend les formules et le projet du FN, anti immigrés, et que l’autre droite vote derrière Macron. Notre chêne national penche de plus en plus à droite et va être offert bientôt tout entier à Trump. Soyons donc là le 5 mai au moins, même si le 13 mai aurait attiré plus de monde. Pour le jeune hospitalisé et peut-être d’autres il doit bien y avoir des témoins, faut pas laisser encore une fois les médias dire n’importe quoi, et le « Média » qu’en dit-il ?

    1. PIETRON

      Avec 6 millions de chômeurs et précaires et des millions de travailleurs pauvres, il ne faut pas s’étonner de la résurgence de forces obscurantistes. Cela dit, la politique ce n’est pas de la morale. C’est un rapport de force. Pour les plus conscients en espérant qu’ils soient de plus en plus nombreux, un rapport de force capital/travail. Utiliser les contradictions majeures et de plus en plus palpables du capital est essentiel (l’exploitation, l’accroissement des difficultés des travailleurs, et l’envolée des profits). Le reste est anecdotique tant qu’il n’y a pas mort d’homme. L’extrême droite, l’action française, ont du mauvais grain à moudre. Il ne faut pas trop leur faire de publicité car c’est bien ce qu’ils recherchent. On devrait savoir que de tout temps ces partis ou associations ne doivent leur existence qu’aux misères engendrées par la politique de la bourgeoisie qui s’en fait des outils (les idiots utiles). Sur la grande scène, il faut les ignorer.

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