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111 commentaires


  1. J.HUCHOT

    Je reviens sur 2 points. LAvenir en Commun.fr ne m’était pas connu du tout ce qui dénote un manque de communication de la part de LFI. Le second point c’est la déroute du candidat LFI à Evry pour la 2ème fois ce qui pose le problème de la légitimité de ce candidat.

    1. Jean

      Le site LAvenir en Commun.fr est référencé 120 fois sur le site avenirencommun.fr, 29 fois sur le site lafranceinsoumise.fr, 7 fois sur le site melenchon.fr.
      Donc tous les candidats « en déroute » ne seraient pas légitimes ? En l’occurrence, et en plus d’avoir manqué le site LAvenir en Commun.fr en parcourant les 3 sites ci-dessus, il semble que vous ayez également raté ce passage dans la présente note de blog : À Évry, la colère contre Macron ne s’est pas transformée en votes. L’abstention à 83% nous a ensevelis. Le candidat de Valls peut donc continuer à régner sur un désert civique. Le peuple reste massivement en grève politique. La première leçon, c’est bien que la démocratie n’est vraiment pas en bon état dans notre pays.

  2. Jouve MN

    Je comprends vos arguments concernant l’analyse du résultat de la législative partielle, mais tout de même, je demeure perplexe quant au mouvement des gilets jaunes. Certes ils discutent, réfléchissent au sein de leurs actions. Certes c’est encourageant de s’apercevoir que les gens ne sont pas aussi résignés qu’il semblait. Mais pourquoi si peu de votants. J’ose espérer que les gilets jaunes se lèvent contre le système ultraliberal. Si ce n’est que pour boucler les fins de mois (je sais que c’est le vrai problème pour certains). Les libéraux ont encore de beaux jours devant eux. Ce sont des années d’organisation de non réflexion, des années à ne plus penser par soi même que nous payons, incités, éduqués (?) comme nous avons été à sur consommer pour entretenir ce système injuste, vorace et dévastateur pour la planète. Et nous même ! Que de courage il vous faut pour continuer ! Je vous en souhaite beaucoup à vous et tous les elus de la Fi et associés.

  3. VACHER Roland

    Oui, plus que jamais, pour en faire un référendum contre Macron, et convaincre les autres pays que nous voulons une autre Europe sortie des traités par lesquels il n’y a plus de démocratie. Les européennes ne sont pas réellement un ancrage comme peuvent l’être les élections partielles ou les municipales !

    1. Jean

      Tout ancrage est bon à prendre, non ? Et particulièrement les élections européennes quand il s’agit de « convaincre les autres pays que nous voulons une autre Europe » ! J’ose croire qu’au sein de Fi, il n’y a pas tant de personnes que dans un (micro) parti que je ne nommerai pas, qui n’ont toujours pas compris le plan A/B…

  4. Dénia

    Moi, aussi, je rejoins @écureuil66 dans son analyse. Constaté sur les barrages des gilets jaunes, les jeunes ne font que très rarement une analyse globale de la situation politique. Par exemple, la destruction du lien intergénérationnel, à travers la sécu et les retraites, ne fait pas du tout partie de leurs préoccupations. Pour eux, toute phrase comportant le mot « politique » est à bannir. Et, tout ce qui ressemble, un tant soit peu, à la gauche ou identifié, à tort ou à raison, comme telle, est à dégager. « Macron, démission », clament-ils, et pas tous, à traduire par « compte pas sur nous pour te réélire ». A voir.

  5. Jean-Marie Giraid

    Quel dommage ! Les candidats FI doivent se présenter comme tels, et non dans « brouillaminis » confusionnel avec une gauche que plus personne ne soutient. Merci à Farda et à bientôt.

  6. Jean Pierre Boulet

    Les beaux discours sont toujours intéressants à lire. Mais ce que j’ai constaté dans le groupe d’appui que j’ai quitté me font penser que c’est loin d’être gagné. A part des opérations coups de poing, aucune présence militante permanente, aucun effort pour aller convaincre, des heures de débat sur le contenu d’un tract, des insultes, des menaces… Et puis arrive l’épisode des listes pour les européennes et je constate que les places éligibles sont réservées aux battus des législatives du parti de Gauche. Rien pour les militants syndicaux, les lanceurs d’alerte. Ce n’est pas cela que j’étais venu chercher. Alors, je suis reparti avec mes illusions perdues.

    1. JeanLouis

      Même constat dans mon groupe d’appui même si il y a une vrai fraternité et surtout sur les listes pour les européennes dont la composition finale à ce jour me laisse rêveur, ça me fait penser plutôt à une confrérie de copains qu’à une liste où ont été choisis les plus performants, crédibles, charismatiques, pédagogiques, bref les plus convaincants… Le peuple n’a pas besoin non plus de gens comme lui mais de personnes qui l’entraînent, le représentent dignement, l’éduquent. Je pense que nous allons vers de graves désillusions, une occasion perdue de plus. Moi pour l’instant je suis encore dedans mais bon par fidélité aux idées pas aux actes hélas.

  7. Alain Ferrier

    Je ne voudrai pas rajouter au pessimisme ambiant, mais il faut tout de même voir que le point de non retour est franchis depuis très longtemps. D’un point de vue écologiste, notre espèce est vouée a l’extinction, même si la science nous laisse entrevoir une possible reprise en main de notre destin, c’est pour être optimiste, malheureusement cela est impossible avec les dirigeants actuels, cela impliquerai la mise en place du projet de l’avenir en commun depuis déjà plusieurs années comme vous le voyez nous en somme très loin.
    D’un point de vue sociale la désaffection des urnes n’a rien de surprenant, 2005 pour moi est le clou dans le cercueil de nos illusions. Comment penser que nous somme toujours en république alors qu’un des plus grand pacte social a été allègrement violé lors du référendum de 2005 ! A cette époque une seule journaliste s’en est emue, Madame Natacha Poloni a qui je voudrai rendre hommage.
    Donc pour ma part je pense que ces violences savamment organisées par le pouvoir ne sont que le fruit logique d’un peuble qui est bailloné depuis trop longtemps. Il est grand temps de continuer dans la rue puisque le République est morte sous nos yeux et sous les yeux des journalistes qui ont ete complice de ce fiasco au lieu de le dénoncer. Certain l’on fait mais tres peu… Hein Mr Cohen !

  8. Brun

    J’ai participé à la dernière semaine de campagne de Farida Amrani. Quelques éléments factuels. Le mardi nous sommes partis faire du porte à porte à 4. Ça m’a un peu effrayé. C’était plus nombreux les autres jours mais autour de la douzaine, pas plus. J’ai discuté avec un jeune militant venu un soir qui m’a raconté l’extraordinaire mobilisation qui a permis l’élection de François Ruffin. On en était semble-t-il loin. Moi qui était nouveau (supporteur de Mélenchon depuis la présidentielle après avoir toujours voté écolo depuis 1988 et avoir milité pour LO de 1975 à 1980) j’ai été surpris de ne pas voir plus de monde sur une élection qui était potentiellement importante du point de vue politique.
    Autre chose, j’ai été agréablement surpris par l’implication des femmes dans cette campagne, et quelle ne fut pas ma stupéfaction, au soir de l’élection, de voir le local de campagne se remplir d’hommes, à un moment, le journaliste de BFM venu pour faire une prise de la déclaration a dit vouloir faire un « plan de coupe ». J’étais gêné de l’image que ça allait renvoyer. Bon je ne pense pas que ça ait beaucoup vu… Alors que le porte à porte était au minimum à parité. Pourquoi avaient-elle disparues ce soir là. Pourquoi tous ces militants étaient-il là à ce moment là ? Etait-ce un moment à leur yeux plus important que toutes les soirées précédentes à parcourir les cités et grimper les escaliers ?
    Bref j’ai l’impression que les comportements changent lentement, très lentement.

  9. Alain Verce

    Moi je fais une constatation : les gens ne veulent pas de nous et c’est tout. Les différents pouvoirs qui se succèdent, les médias constamment égaux à eux mêmes dans la salissure permanente de Jean-Luc Mélenchon, tout cela porte ses fruits nauséabonds.
    Si le peuple pensait qu’il peut attendre quelque chose de positif de nous il voterait pour nous et c’est tout. Il faut arrêter de s’auto féliciter sur nos forums, laissant croire qu’une majorité est d’accord avec nous, car c’est faux et il suffit de surfer ailleurs pour voir la haine qui s’étale contre nous. Même parmi les gens que je côtoie, et qui sont pourtant mécontents, je ne ressens aucune sympathie pour la FI et c’est inquiétant pour notre avenir. J’avoue que je suis désespéré de cette situation et que je n’ai pas de solution. Je constate juste que, habitant une ville de 11000 habitants, avec parait-il une section FI, je n’ai jamais aucun tract dans ma boite à lettre.

  10. Vary

    Cette abstention signifie aussi la méfiance des gens, donc même à l’égard de la FI. Pour moi, ne jurer que par les institutions est une impasse. D’ou cette abstention massive d’où le mouvement massif des gilets jaunes.

    1. YvetK

      Non, la transformation des institutions, l’idée participative sont des réponses.. ça ne suffirait pas dans un premier temps. L’abstention à ce point est grave et elle doit être analysée de façon beaucoupp plus profonde. Quant aux propositions elles doivent avoir un effet immédiat : « Quand on affame un peuple il veut manger », ensuite il s’écoute et se fédère à des idées. Finalement la voie sera libre !

  11. Zephir

    La France insoumise doit absolument changer de stratégie. S’opposer frontalement et brutalement aux médias qui détiennent le pouvoir (ce n’est plus un simple contre-pouvoir) n’est pas la solution. Il faut le faire avec subtilité et humour. Mélenchon que je soutiens à 100% doit revoir entièrement son attitude. Il ne s’agit pas d’être mou et hypocrite, mais être malin et savoir utiliser les médias afin de faire passer ses messages. Le principal c’est de convaincre les citoyens.

  12. M.Martin

    Le témoignage des sociologues Pinçon-Charlot dans l’humanité du 26 novembre concernant les « gilets jaunes » dans les beaux quartiers est à lire absolument. Il rétabli la vérité.

  13. Franck

    Ça ne sert à rien de défiler dans les rues quand le pouvoir en place s’en fiche éperdument. Il faut des actions d’éclat : bloquer l’accès des rues menant aux sièges de télévision, descendre dans les stations de métro et paralyser les poinçonneuses de façon que la Ratp soit obligée de laisser passer les gens gratuitement, faire de même avec les péages autoroutiers…

  14. pem

    Avec toute l’estime j’ai pour la candidate et ceux qui ont mené la campagne, je suis d’accord avec ce premier jet d’analyse. Pour être franche, j’ai ne pas aimé quand j’ai vue la porte à porte de la candidate avec ses enfants. J’ai me suis dit que ce sont des pratiques des politicards. Chercher des recettes du victoire dans la méthode des adversaires mène presque à coup sur à l’échec.

  15. lasbleiz

    J’ai suivi la campagne d’assez loin, habitant assez loin. Je suis d’accord avec le post de J.L Mélenchon à ceci près qu’il m’est apparu que la campagne semblait se focaliser sur des enjeux moraux et que je ne voyais pas en quoi les préoccupations quotidiennes des habitants d’Evry allaient être relayée par leur députée. Bref, je n’ai rien appris sur Evry dans les discours. Ça pose problème. Il faut savoir être un peu plus matérialiste (au sens de Marx) et moins moralisant.

  16. Nicks

    Le contexte d’Evry mérite d’être analysé avec les bons critères, notamment sociologiques. S’il devrait être évident que l’union de la gauche ne fait plus vendre et que nous avons tout à gagner à affermir une position indépendante des tambouilles d’appareils, je pense qu’il faut également comprendre que le potentiel électoral qui nous permettrait d’accéder à un second tour dans une élection d’importance est à chercher plutôt dans les zones rurales. J’ai, depuis, 2012, alerté sur l’angle mort des interventions de Jean-Luc Mélenchon à propos de ces zones délaissées, qui aujourd’hui deviennent visibles avec les gilets jaunes. Nous avons à gagner à montrer que l’Avenir en commun leur propose des solutions, bien plus pertinentes que celles du RN. Bien sûr, parallèlement, il faut continuer à reconquérir les banlieues, mais on ne peut pas en attendre aujourd’hui des résultats. Les populations n’y votent pas pour de multiples raisons.

    1. Chrys

      La méfiance des gens à l’égard des institutions, des syndicats et des partis politiques est proportionnelle à leurs souffrances et leur désespoir. Les gilets jaunes sont une façon originale de reprendre leur souveraineté sur le cours de l’histoire, souveraineté si souvent volée par des représentants de la caste dominante. La FI , pourtant jeune formation, est déjà marquée par le sceau de l’ancien ( a fortiori si elle se présente en compagnie de ressortissants du PS ou d’autres ). J’ai personnellement mal vécu l’arrivée de M. Maurel sur la scène à Pau, une place dans la salle aurait suffi. Ces soutiens, un peu tardifs, nous devons les trainer comme des boulets et nous perdre ensuite dans les explications avec les journalistes et d’autres. Il nous faut abandonner pour un temps les européennes pour coller aux revendications du peuple et ressortir les solutions d’urgence sociale que nous préconisons dans l’Avenir en Commun et au besoin les réajuster. La transition écologique n’est pas…

    2. camille

      Très juste. La révolte fiscale était perceptible depuis plusieurs mois (agissant en collectivité locale j’avais prévenu) et les zones « périph » (villages et petites villes) comme on dit ne risquaient pas d’être prises en compte, pour ça il faut y vivre. Or je l’ai déjà écrit, la carte des militants n’a pas beaucoup bougé et celle des leaders locaux encore moins. Ils n’y vivent pas, c’est tout simple ! Ils n’ont aucun contact sociaux avec les populations que je connais, ce n’est pas de la méchanceté, ils n’ont pas les outils pour piger ce qui se joue ici, c’est vraiment tout bête. La raison est conne, ils sont soit csp (ben oui suffit d’aller aux réunions pour le voir) soit militants syndicaux de certains secteurs économiques précis ou associatifs déjà engagés et pour l’immense majorité dans le centre ou la 1ère couronne urbaine.
      Ce qui est par contre à reprocher, c’est qu’ils ont refusé de s’y intéresser, j’ai bien dit : refusé. Pour Evry, là je ne me prononce pas.

    3. malinvoy

      @chrys
      J’ai moi aussi été désagréablement surprise de voir Maurel dans un meeting de JL Mélenchon nous faire l’éloge de Mitterrand sachant que ce dernier est à l’origine du virage libéral (libre circulation des capitaux, franc fort…) et de notre enkystement dans l’UE. Le changement de pied de Maurel et Lienmann arrive bien tard et bizarrement juste avant les élections Européennes. Ne serait-ce pas trop demander que de vouloir que ces gens là fassent leurs preuves avant de faire leur nid dans une liste FI ? Ce que j’aurais trouvé courageux et crédible c’est de les voir quitter le navire PS par exemple au moment de la loi El Khomri.

    4. Nicks

      Je suis d’accord avec vous. Je suis très inquiet de la tournure que prend une campagne pour les européennes qui ne devrait pas nous mobiliser au maximum au vu du peu de participation qu’elle va connaître. Le rejet de Kuzmanovic et de Cocq me semble être une grave erreur pour servir des objectifs de très court terme qui vont continuer à nous éloigner de notre base électorale. J’ai toujours soutenu Jean-Luc Mélenchon mais j’avoue que je ne comprends pas ce changement de ligne, fut-il temporaire. C’est contradictoire avec la volonté de ne pas faire de tambouilles. Nous vivons un moment de crise interne à la Fi que je n’attendais pas.

  17. Cazenave

    Le mouvement des GJ n’a pas aidé la participation à cette élection. Même moi qui suis pourtant insoumise, j’ai dû faire un effort pour m’y intéresser ! Le temps de l’ « union de la gauche » est en effet révolu et refaire l’histoire en répétant ses erreurs est une absurdité. Je pense que cette élection n’a pas été assez liée au mouvement populaire en cours et n’a pas été attractive !
    Comment fallait -il faire ? Je n’en sais rien. Mais il va falloir en tirer des leçons pour les Européennes. Je ne suis pas sûre que la venue de Maurel et Linemann sur nos listes soit une bonne chose.

  18. camille

    Lorsque les repères sont brouillés il faut de la clarté. En temps de crise, les étiquettes sont pour les boites de sardines. Macron (et ces prédécesseurs) ont les 3 éléments de base des extrêmes droites (exaltation de l’inégalité, de la violence et essentialisme). Sens inverse, l’UPR dont le patron vient de droite se retrouve variante très à gauche. Bref un passage par l’analyse politique de la Résistance serait utile pour comprendre ces dynamiques.
    Fin 2017 à France Inter, Laure Adler, invitée, a terminé son interview par « les femmes sont supérieures au hommes ». Samedi, même radio, pour Caroline de Haas toute critique vous classe soutient des violeurs. Puis elle n’a pas condamné le slogan « un homme mort n’est plus un violeur ». Pour rappel c’est une reformulation de Sherman « un bon indien est un indien mort », reformulé aussi contre les juifs. Bref comme disait Blum en 1933 ces gens m’épouvantent, ils sont l’équivalent des identitaires à droite.

  19. Jean

    Battue avec 17% de participation. Alors que Jean-Luc Mélenchon présentait cette élection comme le moment du rejet macronien. Il serait sage de mesurer ses propos et de cesser de nommer révolution ce qui est convulsion.

  20. Xavier Marchand

    Un monde est mort, mais comme toujours, un autre est devant nous.
    Le mouvement des gilets jaunes a fait bouger les lignes. L’unité progresse à gauche. C’est ce que montre le communiqué historique du 15 novembre. Signé par le Parti de Gauche et les autres partis de la vrai gauche, il propose une plate-forme programmatique pour qu’un Front du peuple nous sorte enfin de la pollution et de la pauvreté. C’est une perspective politique de victoire. On peut diffuser ce texte et le contresigner en ligne. En tant que telle, la FI ne pouvait pas le signer. Le PG l’a fait. Sans doute individuellement, les insoumis peuvent-ils le faire car enfin, cette proposition d’agir ensemble ne mérite sans doute pas une fin de non recevoir.

    1. Romain G

      Ah bon ? « le mouvement des gilets jaunes a fait « bouger les lignes » ? Où ça et quelles lignes ? 11 jours après, le gouvernement reste droit dans ses bottes et continue d’enfumer le petit peuple accro à sa sacro-sainte télé. Les mécontents sont légion et aux abonnés absents. Ils restent sur le bord de la route à compter les points. Les militants syndicaux et politiques échaudés par le rejet dont ils sont l’objet de la part d’un mouvement néo-poujadiste ou d’une nouvelle jacquerie anti-fiscale à courte vue ne savent plus à quel saint se vouer. Et notre sympathique Jean-Luc, impavide, prend ses désirs de « révolution citoyenne » pour la réalité. Triste automne 2018 !

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