LE RESTE DE LREM : UNE SECTE LIBERTICIDE
Chaque année, notre groupe à l’Assemblée nationale dispose d’un jour, un pauvre jour, pour déposer des propositions de lois et obtenir qu’elles soient débattues dans l’hémicycle.
C’est encore trop pour ce qu’il reste de LREM à l’Assemblée nationale. L’effondrement les rend encore plus sectaires, qu’avant. Donc, en commission, les députés marcheurs et leurs alliés du MODEM, au mépris absolu des autres, suppriment tout le contenu de nos propositions et y mettent les leurs à la place.
D’une pierre deux coups : récupérer notre temps dans l’hémicycle et nous obliger à voter contre le texte que nous avons déposé parce qu’il est défiguré. C’est ce que nous avons dû faire pour notre loi pour un pôle public du médicament et celle sur la détresse alimentaire. Les robots macronistes ne se contentent pas d’un Parlement croupion, il leur faut des « débats » où l’opposition n’a pas la parole et ne peut rien proposer. Police intouchable, lois liberticide, application de surveillance géneralisée de la population, fichiers sanitaires interconnectés : la dérive autoritaire bat son plein.
Aux municipales souvenez vous qu’ils sont le parti le plus dangereux pour la liberté aujourd’hui.